Rythmede nage interrompu. Le virage culbute. A l’approche du mur, gardez les bras le long du corps, inclinez la tête vers l’avant afin d’amorcer la rotation du corps. Menton contre poitrine, le corps se regroupe, les jambes passent au dessus de la surface de l’eau et les pieds touchent le mur sous la surface de l’eau. 11 mars 2016 à propos du Sport alors que les chercheurs en natation ont retracé l’histoire du crawl avant à partir de L’Âge de Pierre, la première mention de l’AVC dans un contexte compétitif a été rapporté par le journal invités à nager dans une course à Londres, deux Amérindiens, Flying Gull et Tobacco, auraient fouetté l’eau violemment avec leurs bras comme les voiles d’un moulin à vent et battu vers le bas avec leurs pieds., Les observateurs ont été choqués par la course et sa différence avec la brasse qui était la seule course de compétition utilisée dans les premiers clubs de natation européens. on pense que le nom front crawl » est entré en usage vers la fin du 19ème siècle après que le nageur australien Dick Cavill a décrit sa technique comme comme rampant dans l’eau. un autre moment décisif dans l’histoire du crawl avant est venu en 1922 lorsque Johnny Weissmuller est devenu la première personne à nager 100 m libre en moins d’une minute., comme le crawl avant est le plus rapide des quatre coups de natation contemporains, il est nagé presque universellement dans l’épreuve de freestyle en natation de compétition. l’histoire du Crawl avant les Jeux Olympiques la majorité des nageurs de nage libre aux quatre premiers Jeux Olympiques ont utilisé le stroke de Trudgen – un hybride de la technique du bras crawl avant et du coup de pied de jambe de brasse nommé D’après le nageur anglais John Trudgen., Une variante plus proche du Crawl avant moderne est devenue la norme dans les courses de nage libre après les Jeux Olympiques de Stockholm en 1912 lorsque le nageur américain Duke Kahanamoku a utilisé un cycle de six coups de pied pour remporter l’or Sur 100 m nage libre. bien qu’un certain nombre de distances de nage libre aient été disputées dans l’histoire des Jeux Olympiques, il existe actuellement six distances de compétition individuelles en piscine ainsi qu’une course en eau libre de 10 km. bien que les épreuves du 800m masculin et du 1500m féminin n’aient pas encore eu lieu aux Jeux Olympiques, elles seront disputées pour la première fois à Tokyo 2020., Il y a aussi deux relais de nage libre organisés aux Jeux Olympiques – le 4x200m nage libre, qui a été le premier relais de natation olympique à être disputé en 1908, et le 4x100m nage libre. médaillés olympiques anglais en nage libre piscine L’appel des nageurs Anglais à avoir remporté des médailles olympiques en nage libre comprend quelques noms notables dans l’histoire du crawl avant. Henry Taylor a remporté des médailles à trois jeux consécutifs de 1908 à 1920, y compris un tour du chapeau d’or dans le 400 m libre, 1,500 m libre et relais 4×200 M libre à Londres 1908., Taylor est resté le seul athlète britannique à remporter trois médailles d’or à un seul Jeux Olympiques jusqu’à ce que le cycliste Sir Chris Hoy égale L’exploit à Beijing 2008. Les Jeux Olympiques de Pékin ont également vu un autre record de Taylor égalé alors que Rebecca Adlington est devenue seulement la deuxième nageuse britannique à remporter plusieurs médailles d’or aux Jeux Olympiques, doublant sur 400m et 800m nage libre., Los Angeles 1932 – Joyce Cooper, Edna Hughes, Helen Varcoe avec la galloise Valerie Davies – relais 4x100m nage libre bronze Montréal 1976 – David Dunne, Brian Brinkley avec les écossais Alan McClatchey et Gordon Downie – Relais 4x200m nage libre bronze Los Angeles 1984 – Paul Easter, Paul Howe, Andrew Astbury avec l’écossais Neil Cochran – relais 4x200m nage libre bronze Rio 2016 – James Guy avec les Écossais Stephen Milne, Duncan Scott et Dan Wallace – relais 4x200m nage libre argent Etsi vous êtes sur Facebook, il y a aussi le groupe des Nageurs 2.0. Article invité : Thomas de 3 étapes pour développer ta technique en crawl. Aujourd’hui, nous allons voir comment travailler ta technique en crawl efficacement pour progresser rapidement. Et pour cela, nous allons nous concentrer sur 3 aspects Pour bien nager le crawl, chaque sportif a sa technique de respiration. Je vais t’expliquer pourquoi et te donner quelques astuces pour que tu puisses t’améliorer dans ce domaine. Le plus important dans la respiration est de réussir à bien soxygéner sur la durée. Quelle est ta fréquence de respiration en crawl ? ​Quand on parle respiration, on se focalise souvent sur la notion de fréquence alors que ce n’est pas le plus important. Le plus important est d’éviter l’asphyxie ! Tu vas peut-être préférer respirer en trois temps peu importe la distance. Ou respirer en changeant de côté ne va pas te déranger. Tu peux également avoir une fréquence de bras plus lente et respirer en 2 temps on a tous un côté préféré. Toutefois, le désavantage de la fréquence en deux temps est qu’elle accentue les déséquilibres dans ta nage. Attention quand la fatigue arrive, tu as plus de chance d’être en déséquilibre durant ta respiration. Il est donc avantageux de réussir à respirer des deux côtés. Pas forcément en alternant à chaque fois. Par exemple, tu peux faire deux fois sur trois sur ton côté préférentiel et une fois sur trois sur l’autre côté où tu te sens moins à l’aise. Au final, tu seras moins fatigué, plus lucide et performant. A quel moment respirer quand on nage le crawl ? L’erreur courante quand on nage le crawl est de sortir sa tête trop tôt de l’eau ce qui entraîne une perte de vitesse plus importante. Le moment propice pour démarrer la rotation de la tête est lorsque ta main passe au même niveau que ton épaule durant la phase de propulsion. Il est important de prendre une respiration rapide pour éviter de recevoir plus de résistances créées par la rotation de la tête. Comment expirer sous l’eau ? ​Cela est propre à chaque nageur, certains soufflent en continu avant de relever la tête ; d’autres soufflent très peu et font un gros souffle à la fin. L’idée est d’expirer le maximum d’air pour faire baisser la pression. La différence de pression avec la surface te permettra de bien remplir tes poumons. Le plus important est que tu sois le plus à l’aise, il n’y a pas de meilleure manière d’expirer. Comment bien prendre son inspiration en nageant le crawl ? ​Quand tu nages, tu engendres de la vitesse. Cette vitesse au moment de la rotation va te permettre de créer une petite vague au niveau de la bouche grâce à ton front. La vague va te créer un petit espace pour que tu puisses prendre ton exercice que je conseille à mes élèves, afin de mieux placer leur respiration en crawl, est de garder un bras le long du corps jusqu’à la cuisse et un autre tendu vers l’avant dans le prolongement de l’épaule qui est sous l’eau. Place ta tête comme si tu étais en nage complète avec le regard vers le fond. Tu seras légèrement de côté. La propulsion viendra des jambes. Au bout de quelques battements une dizaine, oriente ta tête sur le côté pour prendre une inspiration. Change de bras entre chaque longueur. Pour en apprendre plus fais un tour sur le site de la FFN ou va voir mon article pour gagner du temps pour gagner en vitesse en crawl 😉 As-tu des problèmes pour respirer en crawl ? Laisse-moi un commentaire !
Comments’entraîner avec le crawl? Comme il est important de pas trop lever la tête hors de l’eau, il faut tordre un peu la bouche pour respirer quand on nage le crawl. Le mouvement des bras pour apprendre le crawl. Comme pour tout apprentissage de nage avec les enfants, commencer par s’entraîner au bord du bassin, c’est nettement
Le crawl, la nage reineAsymétrieLe mouvement des brasLe retour aérien du brasComment respirer en crawl ?Le mouvement des jambesLe crawl, la nage reineOn touche ici à ce que les puristes » appellent la nage reine, c’est effectivement en crawl que l’homme va le plus vite dans l’eau. Mais sans tomber dans les excès du sectarisme disciplinaire les 3 autres nages sont également très riches, le crawl est très certainement plus médiatisé ». C’est également cette nage qui couvre les séries les plus vastes, du 50 mètres au 1500 mètres, donc du sprint le plus pur à l’endurance la plus dure. Le terme anglais to crawl » signifiant ramper », il donne une image assez juste du mode de propulsion qui sera crawl est une nage asymétrique la partie droite du corps effectue les mouvements inverses de ceux de la partie gauche, l’axe vertical du corps formant la séparation. Ceci est valable pour les bras et pour les jambes battements.Le mouvement des brasIl débute le bras allongé, dans le prolongement de l’épaule, la main dans l’eau. Il se compose de 3 phases La mise en place ou prise d’appui est la courte période durant laquelle la main se positionne correctement pour l’appui, juste avant la traction. On oriente alors la main légèrement vers l’extérieur, la paume de la main vers la droite et le bas du mouvement. La phase de traction s’effectue dans un mouvement de léger arc de cercle vers l’extérieur, afin de respecter le mouvement naturel du niveau de l’épaule, et avant d’enchainer la phase de poussée, la main reviens se positionner plus vers le centre du corps, le bras se plie, et le coude se positionne à l’extérieur par rapport à la main le bras est prêt pour la poussée. La phase de poussée termine le trajet aquatique du bras; elle s’effectue dans un léger arc de cercle cette fois orienté vers l’intérieur, en orientant toujours la paume de la main vers le bas du corps pour garder une bonne surface de poussée, en dépliant le fin de poussée, la main se repositionne davantage vers le coté du corps afin de sortir de l’eau au niveau de la retour aérien du brasIl part de la cuisse, sur le côté du corps, à la fin de la poussée, et permet de ramener le bras et la main au début du mouvement suivant, allongé, dans le prolongement de l’épaule. Afin de ne pas faire supporter à l’épaule tout le poids du bras, l’astuce est de se servir du coude. En effet, après la sortie de la main de l’eau, c’est le coude qui se lève, puis qui s’avance, et qui soutient donc tout l’avant-bras durant le trajet aérien. On parle donc de retour des bras coude en l’air ».Comment respirer en crawl ?Respirer en crawl n’est pas si difficile. Tous les 2 ou 3 mouvements de bras, on tourne les épaules sur le côté ainsi que la tête, pour permettre la respiration latérale attention de garder par contre les hanches bien droites. On parle de respiration tous les 2 temps toujours du même côté, 3 temps à droite, puis à gauche, 4 temps, etc… Le rythme normal de respiration en entrainement est de 3 des erreurs typiques lorsque l’on débute en crawl est de vouloir aller trop vite; les bras s’emballent, et l’on n’a pas le temps de placer correctement sa respiration prenez le temps qu’il faut pour maintenir la tête de côté avec l’aide de l’ouverture des épaules le temps nécessaire à une bonne inspiration l’expiration se fait, elle, lorsque la tête est revenue se placer de face, dans l’eau. Quitte à ralentir le rythme des mouvements de bien le champion du monde épaules tournées vers le coté, tête et cou très peu tournés, bouche tordu pour respirer juste au-dessus de l’eau à ce niveau-là, faut être perfectionniste.A partir d’une certaine vitesse, le déplacement du nageur dans l’eau crée une petite vague autour du visage dans laquelle le nageur peut respirer. On notera également le retour du bras, coude au-dessus, main bien mouvement des jambesCe sont des battements, donc des impulsions souples que l’on donne aux jambes, amplifiées par les pieds chevilles très souples et détendue, pointe du pied allongée sans se contracter, dans un mouvement de haut en bas. Attention une seule jambe travaille à la fois celle qui descend mouvement du pied de haut en bas l’autre est déconnectée » on ne met pas de puissance dedans, et elle remonte par effet d’inertie on ne met donc de la force que dans une jambe, puis dans l’autre, et ainsi de suite alternativement mais suffisamment rapidement tout de même.Plus le corps sera bien allongé et les jambes près de la surface, plus les battements seront efficaces et propulseurs; mais attention des battements trop à l’extérieur de l’eau sont inopérants. Il n’y a pas de relation directe entre le rythme des jambes et celui des bras; à chacun de trouver une synchronisation qui lui va. Rappelez-vous que les battements demandent une grande énergie, donc une grande consommation d’oxygène les jambes, qui représentent un tiers du corps, comprennent parmi les plus gros muscles sauf dans le cas des sprints, n’abusez pas des battements ils maintiennent le corps en position et stabilisent les hanches, pas leur rôle propulsif est bien moins important que celui des Dr Benchehida Abdelkader Audelà de l’aspect de la natation, le crawl est un style de nage qui se révèle parfait pour développer les groupes musculaires des bras, dessiner les abdos, sculpter les fessiers, affiner la silhouette et obtenir un ventre plat. L’importance
Les bienfaits de la natation Les Romains, déjà, reconnaissaient le rôle élémentaire de la natation Il ne sait ni lire, ni nager ». Aujourd’hui, la natation est le deuxième exercice physique le plus pratiqué en France, après la marche et avant le vélo. Contenu1 Les bienfaits de la pratique de la Le travail du corps en douceur2 La natation pour affiner sa silhouette ?3 Peu de N’oubliez pas l’échauffement !4 Pour en savoir La rédaction de vous recommande d’autres articles Les bienfaits de la pratique de la natation Une pratique olympique dès les premiers Jeux de l’ère moderne en 1896, et qui s’est développée en France à partir de ceux de 1924, les deuxièmes que Paris organisa. Mais pas besoin de s’appeler Laure Manaudou pour se lancer et pratiquer la natation. Le travail du corps en douceur Brasse, papillon, crawl, dos crawlé, la natation fait partie des sports complets ». Elle fait travailler tous les muscles du corps et ce de manière non traumatisante. En tonifiant l’ensemble du système musculaire, elle prévient et soulage certaines douleurs, en particulier du mal de dos, mais aussi du genou et de la hanche. La natation assouplit les articulations et réduit le risque d’arthrose la poussée d’Archimède, tout corps plongé dans un fluide … », allège le poids du corps sur les articulations. Avec des différences selon la morphologie de chacun. Les bienfaits de la natation D’ailleurs, la natation fait partie de l’un des sports-phare de la Fédération Française de Handisport. Et la balnéothérapie fait partie de la rééducation, en cas de séquelles ou de handicap à la suite d’un accident. Mais aussi contre les rhumatismes. La natation pour affiner sa silhouette ? Deux fois plutôt qu’une non seulement, une heure de piscine fait perdre 700 Kcal. La résistance de l’eau à la propulsion du corps fait dépenser de l’énergie. Mais, l’effet massant de l’eau active la circulation sanguine. Après une séance de piscine, l’effet relaxant est garanti. Le soir, aucun problème pour s’endormir. Peu de contre-indications La natation se pratique toute l’année. En hiver, les principales contre-indications sont les classiques affections pulmonaires et ORL angine, otite, sinusite. Pour l’asthme en revanche, la piscine a l’avantage de faire travailler le souffle en atmosphère chaude à voir avec votre médecin. Serviette de Microfibre – Séchage rapide – Large, super absorbante, légère et compacte. Conçu pour les sports, voyage et le plein air. Idéal pour la plage, gym, yoga, pilates, bikram, la piscine, le camping, la randonnée et le cyclisme. Taille 130 cm x 80 cm. Poids 0,25 kg. Texture suède. Sac d’emballage gratuit inclus. Garantie de remboursement. Rose, 130x80cm Par ailleurs, des problèmes de peau eczéma, psoriasis représentent une contre-indication très relative. Si l’eau de mer soulage le psoriasis, la piscine chlorée ne l’aggrave pas. Le frein est plutôt le regard d’autrui. Enfin, la piscine est bonne pour l’équilibre glycémique. En cas de diabète, là aussi, pas de pratique sans avis médical. N’oubliez pas l’échauffement ! Ce n’est pas parce qu’une piscine est à bonne température, que cela dispense de s’échauffer. Le corps en a besoin avant tout exercice physique d’abord à sec, par la rotation des épaules vers l’avant puis vers l’arrière, et par celle des hanches d’un côté puis de l’autre. Les bons nageurs y ajoutent des pompes et des exercices de gainage du ventre, des côtes et du dos. Les bienfaits de la natation Une fois dans l’eau avec bonnet de bains, continuez l’échauffement en nageant d’abord doucement. Une fois lancé, variez les nages, c’est excellent. Et, au sortir de l’eau, douche, des chaussons de caoutchouc pour éviter les verrues. Et bien se sécher pour éviter les mycoses. Pour en savoir plus La rédaction de vous recommande d’autres articles Marcher pour maigrir intelligemment Régime minceur quand maigrir rime avec plaisir Soulager naturellement les crampes aux jambes Aller au travail en vélo qui sont les vélotafeurs ? Tout savoir un le yoga Pour votre santé, pratiquez le tai chi chuan Née en 1960 à Dakar au Sénégal, Pascale est toujours un peu cet enfant qui a grandi au bord de la mer, même si elle vit aujourd’hui à Paris. Les obligations professionnelles de ses parents l’ont amené à voyager à travers le monde et à rejeter le matérialisme pour se concentrer sur l’humain. Quand elle arrive en France pour faire Sciences Po Paris, c’est un grand décalage qui l’attend. Elle conforte alors sa vision de la vie aux autres jeunes gens de son âge. Elle s’habitue à ce nouveau rythme, mais c’est la perpétuelle recherche du reste du monde » qui la guide et la mène au journalisme. Elle découvre la radio, elle collabore d’ailleurs toujours à Radio Ethic, puis le média web. Ses domaines de prédilection le sport, pour sa dimension d’échanges et partages, et l’écologie bien sûr. Elle la vit au quotidien en se déplaçant à bicyclette et trouvant toujours une astuce récup’ pour ne pas acheter neuf inutilement. Elle rejoint l’équipe de en 2016, dont elle devient rapidement un pilier central !
Commeson nom l’indique, l’échauffement à sec s’effectue hors de l’eau. Elle consiste à permettre au corps d’atteindre la température corporelle nécessaire pour assouplir les muscles et atteindre une bonne performance. Quelques
Il y a deux grandes familles de virages Les virages à la main Les virages culbutes » Il est indispensable de bien apprendre le virage à la main avant le virage culbute. C’est ce virage qui doit être pratiqué dans les premiers groupes d’entraînement jusqu’à ce que le virage culbute fasse l’objet d’un apprentissage sérieux et soit parfaitement maîtrisé. Le virage à la main est la technique de base des virages de brasse et de papillon qui en découlent naturellement. Les principes communs. Un bon virage est surtout une question de rythme, il ne faut pas se précipiter et encore moins être brutal. C’est une bonne vitesse d’arrivée au mur qui fait la rapidité du virage. On se sert de la vitesse d’arrivée pour faire !e virage. On cherche à accélérer la vitesse sur les deux derniers cycles de nage. On arrive sur le mur à la suite d’un mouvement de nage complet. En brasse et en papillon on peut modifier l’amplitude de l’avant-dernier cycle pour bien arriver au mur sur un dernier cycle de nage complet. On doit savoir arriver au mur, en crawl et en dos. sur les deux bras. La vitesse d’arrivée au mur comme celle de la sortie de coulée doit être plus rapide que celle de la vitesse moyenne de nage. Le virage est amorcé sur le léger temps de glisse qui suit le ciseau en brasse et la dernière action complète des bras en crawl en dos et en papillon. Attention à ne pas bloquer sa vitesse sur le mur avec les mains et les bras, en brasse et en papillon, ou en tapant le mur avec les pieds, en crawl et en dos, La rotation de la culbute et la bascule du virage à la main se font naturellement et sans effort sur la vitesse acquise et grâce à l’action de la tête. Les pieds prennent appui au mur tout en souplesse et sensations – pour garder la vitesse d’inertie du corps induite par la nage qui doit s’additionner à celle de la poussée pour la coulée ; – au niveau de la tête pour une coulée parallèle à la surface. La meilleure position hydrodynamique doit être prise sur la poussée au mur pour la glisse et l’ensemble de la coulée. Les virages à la main Le virage à la main a souvent été abordé pour partie lors des écoles d’apprentissage du crawl telles que nous les préconisons dans cet ouvrage, il se compose d’une approche au mur ; d’une prise d’appui de la main ou des mains au mur sans blocage ; d’un appui de la main au mur sur le regroupement des jambes pour induire la bascule autour du bassin ; d’un enfoncement dans l’eau, sans que les pieds ne touchent le mur ; d’une prise d’appui des pieds au mur tout en sensation et d’une poussée ; d’une coulée et d’une reprise de nage. L’approche du mur L’arrivée au mur se fait en accélération, sur la glisse de la dernière et complète action propulsive ; on profite de cette glisse pour se mettre sur le côté ; le bras arrière reste le long du corps, la main se tourne, paume vers le fond pour être en appui sur l’eau ; la tête reste dans l’axe du corps. La prise d’appui des mains au mur La main aborde le mur en souplesse par les doigts puis la paume, sur la flexion du poignet. Les doigts sont dirigés vers le haut. Profitant de l’inertie, on se laisse aller sur le mur, sur le côté, sans se bloquer tout en fléchissant le bras, coude vers le bas et en regroupant les jambes. Le bras arrière en appui sur l’eau est déjà placé pour la poussée. La bascule Sur la flexion du bras, on redresse la tête tout en regroupant les jambes, genoux vers le ventre, talons sur les fesses. L’avant-bras en appui, tête redressée, la bascule du corps autour du bassin est provoquée par une poussée de la main et de l’avant-bras sur le mur dans l’inertie du déplacement du corps pour en changer la direction. Sur cette poussée qui provoque la bascule, la main quitte l’appui du mur. La tête, le tronc et les jambes restent sur un même axe, vertical à la surface. La bascule autour du bassin, du corps placé sur le côté, offre peu de résistance. Elle permet de ramener les jambes groupées au mur tout en replaçant la tête et les épaules sur l’avant. Il est un instant où ni les mains ni les pieds ne touchent le mur, le corps étant dans un même axe sur le plan vertical, jambes vers le fond, bras et tête hors de l’eau. L’enfoncement dans l’eau Toujours sur le côté, la bascule du corps autour du bassin ramène les jambes vers le mur, le tronc, les épaules, la tête et les bras sur l’avant. La tête s’enfonce dans l’eau tout autant que les jambes remontent du fond. Les bras se rejoignent sous l’eau, les mains se plaçant l’une sur l’autre. Le tronc s’enfonce dans l’eau sans que les jambes remontent à la surface. L’ensemble du corps, sur un même axe, se place à la profondeur souhaitée parallèlement à la surface de l’eau. La prise d’appui des pieds au mur et la poussée Les pieds ne touchent pas le mur tant que le corps n’est pas aligné sous l’eau parallèlement à la surface et à la profondeur souhaitée. La prise d’appui se fait en souplesse pour ne pas bloquer l’inertie du corps. La poussée se fait dans la continuité de l’appui, tout en sensation, elle est progressive et s’accentue sur le fouetté de l’extension des pieds. La vitesse induite par la poussée au mur s’ajoute à la force d’inertie du corps. C’est sur la poussée et la coulée qu’on commence à se replacer sur le ventre. Attention à bien prendre une bonne position hydrodynamique sur l’extension du corps, bras étirés, tête entre les bras, mains l’une sur l’autre, fesses serrées, jambes et pointes des pieds tendues. La coulée et la reprise de nage s’enchaînent ensuite comme nous l’avons vu. La spécificité du virage de brasse et de papillon La spécificité de ces virages est due au fait qu’il faut toucher le mur à deux mains. Le nageur, en brasse comme en papillon, doit modifier l’amplitude de l’avant-dernier cycle de nage pour arriver correctement et en pleine vitesse sur le mur à la suite d’un cycle complet. Il ne doit pas être trop loin ni trop près et ne doit pas avoir à faire une trop longue glisse ou un mouvement atrophié des bras de trop, sans l’appui des jambes. Il doit faire le choix d’un côté pour le virage. En général l’appui se fera sur le bras droit pour les droitiers et sur le bras gauche pour les gauchers. Dès qu’il a touché le mur avec le bout des doigts, il retire un bras, en l’effaçant, pour se placer sur le côté et le replacer sur l’avant. Dans le même temps, il se laisse aller vers le mur sur l’autre bras. La suite du virage et de la bascule sont identiques. La poussée au mur se fait également sur le côté et légèrement sur le ventre pour respecter le règlement. Les jambes restent en profondeur pour que le corps s’enfonce plus sous l’eau pour une coulée plus profonde en brasse qu’en papillon. Virages à deux mains Les virages culbutes » Le virage culbute, en crawl comme en dos, se compose avec quelques spécificités de quatre actions interdépendantes qui se succèdent l’approche du mur e l’appui des bras ; la rotation ; la prise d’appui des pieds au mur et la poussée ; la coulée et la reprise de nage. L’approche du mur Se fait en accélération sur la dernière action propulsive complète du bras. Le nageur doit être capable d’arriver aussi bien sur un bras que sur l’autre. Le bras qui vient de finir la dernière action propulsive rejoint le bras arrière le long du corps, les mains se mettent en appui, paumes orientées vers le fond du bassin. Il ne faut pas respirer sur le dernier mouvement ni sur la glisse au risque de bloquer la vitesse et de faire une mauvaise culbute. La rotation et la bascule du bassin La rotation se fait sur l’action active de la tête et grâce à la vitesse de déplacement. La flexion très active de ta tête, le menton venant se placer contre la poitrine, permet le changement de direction tout en accélérant la vitesse de la rotation. La tête fait un demi-cercle de 180° en se dirigeant activement vers le bas et l’arrière puis surtout vers le haut pour revenir vers la surface se placer sous les genoux et entre les bras qui sont restés en appui proches de la surface. C’est la remontée active de la tête, vers le haut et la surface, sous les genoux, qui permet la bascule du bassin que les jambes ne peuvent qu’accompagner naturellement et sans effort. Les épaules et le tronc suivent la tête. La bascule du bassin provoquée par la remontée de la tête sous les genoux provoque le passage des jambes qui se fléchissent tout au long du passage. Les jambes entrent dans l’eau groupées, sans toucher ni taper le mur jusqu’à ce qu’elles se retrouvent au niveau de la tête. Les paumes des mains, orientées vers le fond, en appui sur l’eau avec les bras puis l’ensemble du dos limitent l’enfoncement du corps dans l’eau sur le passage aérien des jambes. Les phases de la culbute La prise d’appui des pieds au mur et la poussée Les pieds ne touchent pas le mur tant que le corps n’est pas aligné sous l’eau parallèlement à la surface et à la profondeur souhaitée. Il faut que les pieds se retrouvent au niveau de la tête s’ils sont au-dessus, le nageur poussera vers le bas ; s’ils sont en dessous, il poussera vers le haut ; s’ils sont au niveau de la tête, il poussera parallèlement à la surface. La tête est entre les bras étirés, les mains l’une sur l’autre, tout le corps aligné, en appui sur l’eau, est en position costale à la suite de la vrille do la tête sur la fin de la bascule du bassin et sur le passage des jambes. La prise d’appui se fait en souplesse pour ne pas bloquer l’inertie du corps. Les pieds en prenant appui au mur sont écartés et décalés, l’un sur l’autre, pour une bonne stabilité. La poussée se fait dans la continuité de l’appui, elle est progressive et s’accentue sur le fouetté de l’extension des pieds. La vitesse induite par la poussée au mur s’ajoute à la force d’inertie du corps. On se replace sur le ventre, sur la poussée et la coulée, grâce à l’action de la tête qui continue la vrille démarrée sur la fin de la bascule du bassin. Attention à la position qui doit être la plus hydrodynamique possible, La coulée et la reprise de nage s’enchaînent ensuite. La spécificité du virage culbute du dos La spécificité de la culbute en dos est relative au retournement pour le passage sur le ventre autorisé par le règlement ; à la poussée et à la coulée qui vont se faire sur le dos. Après la prise de repères sur la ligne de virage, le nageur doit savoir combien d’attaques de bras il doit faire avant d’enclencher son virage, un virage qui se fait à partir d’une action de la tête qui se tourne sur son axe de manière très active pour se mettre dans [eau, une rotation qui se fait sur le côté gauche pour les droitiers, sur le droit pour les gauchers ; d’une rotation de la tête qui permet d’accentuer le roulis des épaules sur la fin de l’appui propulsif » du bras droit, pour une prise d’appui beaucoup plus en profondeur du bras gauche ; d’un appui propulsif du bras gauche plus profond et plus vertical, associé à l’action de la tête qui poursuit sa rotation pour permettre le passage sur le ventre et le retour du bras droit sur l’avant d’un appui propulsif ›› du bras gauche qu’il faut maintenir en appui sur l’eau jusqu’à la cuisse, pour l’efficacité propulsive mais surtout, pour bien terminer le replacement du corps sur le ventre et le retour du bras droit loin sur l’avant ; du maintien de cet appui sur l’eau du bras gauche, dépendra l’efficacité propulsive du bras droit sur laquelle la culbute se fera ; une efficacité qui doit être similaire à celle du crawl, s’il s’est bien replacé sur l’avant, qui permettra d’aborder la culbute en pleine vitesse facilitant ainsi son exécution et sa rapidité ; il n’y aura pas de vrille de la tête, le nageur restera sur le dos pour une coulée et une reprise de nage que nous avons déjà abordée ci-dessus. L’ensemble du virage, de l’amorce du retournement à la reprise, doit se faire dans le cadre d’un mouvement continu fixé par le règlement mais qui permet pour peu qu’on s’y penche d’entretenir et surtout d’accentuer la vitesse de déplacement avant la culbute elle-même. Vidéo 1 Virage culbute Vue sous marine 180° Face {flv}flv/viragecomplet018006000{/flv} Vidéo 2 Virage culbute Vue Multiple {flv}flv/virageexercices5{/flv} Vidéo 3 Virage culbute Exercice Statique Surface Vue Multiple {flv}flv/virageexercice2{/flv} Vidéo 4 Virage culbute Vue Multiple {flv}flv/virage02{/flv}
çapermet d'enregistrer le geste et ensuite il est plus simple de passer aux travaux pratique dans l'eau. En plus tu peux t'entrainer à l'infini et ça te coute rien. Avant de faire ces exercices, tu peux regarder une vidéo sur youtube sur la technique de crawl, c'est pas ça qui manque.
Quatre styles principaux ont été établis en natation de compétition. Ils sont - Butterfly Coup de dos AVC du sein Freestyle Papillon Dans ce style, les nageurs plongent dans la piscine en écartant les bras et les épaules. Ils entrent dans la piscine soit à plat, soit légèrement vers le bas. Ils tournent leurs bras en demi-cercle pour soulever le corps. Le corps se propulse alors qu'ils poussent l'eau vers leurs pieds en bougeant leurs mains simultanément. Ils poussent l'eau vers l'arrière en déplaçant leurs pieds de haut en bas de manière synchrone. Ils peuvent utiliser le coup de pied de dauphin ou de papillon. Ce style est né du coup de sein et est considéré comme le style le plus difficile. La FINA, l'organisme international de réglementation de la natation, a accepté ce coup et a formé un ensemble de règles en 1952. Règles Les nageurs doivent garder leur corps sur la poitrine au début de la course et à chaque virage. Ils ne sont autorisés à rouler sur le dos à aucun moment de la course. Ils doivent bouger leurs bras de manière synchrone. Ils doivent bouger leurs jambes simultanément, mais ne doivent pas nécessairement être au même niveau, mais ils ne sont pas autorisés à les déplacer alternativement. Ils ne sont pas autorisés à utiliser des coups de pied de jambe. A chaque virage et à la fin de la course, ils doivent toucher la planche à deux mains et en même temps. Ils peuvent utiliser un ou plusieurs coups de pied de jambe et un bras, mais ne peuvent pas rester dans l'eau plus de 15 mètres, au départ de la course et dans les virages. Ils doivent rester à la surface de l'eau à moins qu'ils n'aient à tourner à nouveau ou qu'ils ne soient sur le point de terminer la course. Coup de dos Dans ce style, les nageurs nagent sur le dos. Ils peuvent respirer facilement car leur tête sera au-dessus de l'eau tout au long de l'AVC. Cependant, les nageurs ne peuvent pas voir où ils se dirigent. Dans les piscines avec des voies artificielles, la plupart des nageurs savent combien de coups ils prennent pour atteindre la fin. Les nageurs sont autorisés à tourner la tête pour voir où ils se dirigent, mais cela les ralentit. Ce trait ressemble à un crawl inversé. Les nageurs bougent leurs bras en mouvement semi-circulaire, l'un après l'autre, pour pousser l'eau vers leurs jambes. Pendant qu'ils attrapent de l'eau avec un bras, l'autre bras récupère. Ils donnent des coups de pied dans l'eau avec les orteils pointus et essaient de réduire la traînée en gardant leurs jambes aussi droites que possible. Leur mouvement de bras semi-circulaire leur fournit la poussée nécessaire. L'axe est plus long et suit le corps du nageur de la tête aux pieds. Au départ de la course, les nageurs écartent leurs jambes à la largeur des épaules, face au mur et s'accrochant au bloc de départ. Ils plient généralement les genoux à angle droit et se préparent pour la course. Une fois qu'ils entendent le signal de départ, ils s'éloignent du bloc de départ avec leurs pieds. Ils balancent leurs mains et plongent dans l'eau sur le dos. Règles Au début de la course, les nageurs ne sont pas autorisés à se tenir debout dans ou sur la gouttière. Ils ne peuvent pas non plus plier leurs orteils sur la lèvre de la gouttière. Les nageurs peuvent pousser au départ de la course et après un virage. Aux virages, les nageurs peuvent tourner leurs épaules sur la verticale de la poitrine. Après cela, ils peuvent utiliser une traction continue à un bras ou une traction continue à deux bras pour prendre un virage. Ils devraient se remettre sur le dos après avoir quitté le mur. Les nageurs peuvent légèrement rouler leur corps sur le dos, mais leur corps ne doit faire qu'un angle inférieur à 90 degrés avec l'horizontale. Les nageurs doivent prendre soin de nager avec une partie de leur corps au-dessus de la surface de l'eau tout au long de la course. Cependant, ils peuvent rester complètement dans l'eau dans les virages et à l'arrivée de la course sur une distance ne dépassant pas 15 mètres. En tournant, les nageurs doivent toucher le mur avec une partie de leur corps. AVC du sein Ce style est considéré comme le plus ancien. Dans ce style, les nageurs étirent leurs bras vers l'avant et inclinent légèrement leurs mains vers le bas. Tout en tirant leurs mains vers la taille, ils rapprochent leurs pieds des hanches et replient leurs jambes et donnent un coup de pied dans l'eau avec leurs pieds. Cela propulse leur corps vers l'avant et leur donne de la vitesse. Le mouvement des jambes est similaire à celui d'une grenouille, il est donc également connu sous le nom de coup de pied de grenouille ou coup de fouet. Dans ce coup, plus le corps du nageur fait un angle avec la surface de l'eau tout en essayant de pousser l'eau vers l'arrière, induit une traînée et ralentit le nageur. Les nageurs maîtrisent ce coup en apprenant à réduire la traînée au début de la course en gardant leur corps, de la tête aux hanches, aussi droit que possible. Pour gagner en vitesse tout en poussant l'eau vers l'arrière lors d'un coup de pied de grenouille, les nageurs doivent essayer de garder leurs talons immergés dans l'eau, mais aussi près que possible de la surface de l'eau. Ils doivent apprendre à gérer leur respiration, en rentrant le ventre et en amenant leur visage au-dessus de la surface de l'eau, tout en déplaçant leurs mains vers leurs hanches. La plupart des nageurs de longue distance utilisent ce mouvement. Le capitaine Mathew Webb a été le premier homme à traverser la Manche à la nage en 1875. Il a réussi à couvrir l'immense distance en utilisant ce coup. La course de bras relativement plus petite met moins de pression sur les nageurs et rend cette course idéale pour la nage longue distance. Règles Ils devraient commencer la course en nageant sur leur poitrine. Ils doivent séparer leurs mains et faire un coup de bras au début de la course. Ils devraient prendre un coup de pied de jambe après un coup de bras. Un coup de bras et un coup de pied de jambe forment ensemble un cycle de course. A tout moment de la course, ils ne peuvent pas se retourner. Ils devraient bouger leurs mains simultanément. Ils doivent garder leurs mains au même niveau horizontal. En poussant l'eau du sein, leurs mains peuvent rester sur, sous ou au-dessus de la surface de l'eau. Leur coude doit toujours rester dans l'eau. Cependant, il peut rester au-dessus de la surface de l'eau lors du coup final avant un virage, pendant le virage ou à la fin de la course. Ils peuvent ramener leurs mains sur ou sous la surface de l'eau. Ils ne peuvent pas ramener leurs mains au-delà de la ligne des hanches, sauf pendant le premier coup et à chaque tour. Ils doivent tourner leurs pieds vers l'extérieur pendant la partie propulsive du coup de pied. Ils peuvent briser la surface de l'eau avec leurs pieds, mais ils ne peuvent pas prendre un coup de pied de papillon vers le bas immédiatement après cela. À chaque virage et à la fin de la course, les nageurs doivent toucher le mur avec leurs deux mains simultanément au-dessus ou en dessous du niveau de l'eau. Ils peuvent submerger leur tête après la dernière traction du bras juste avant le toucher, mais ils devraient casser la surface de l'eau à un moment donné au cours du dernier cycle complet ou incomplet précédant le toucher. Style libre Dans les courses de style libre, très peu de restrictions sont imposées au nageur. Le nageur peut choisir de nager dans n'importe quel style. Cependant, le crawl et le style libre sont devenus synonymes car presque tous les nageurs du monde entier utilisent le crawl dans les compétitions de style libre. Dans ce style, les nageurs bougent leurs bras alternativement vers l'avant, tirant l'eau vers l'arrière. Ils battent leurs pieds simultanément. Ils déplacent l'un de leurs bras dans un mouvement semi-circulaire dans un plan vertical pendant qu'ils attrapent l'eau avec l'autre bras et la poussent vers l'arrière. Ils pourraient également choisir de fouetter leurs pieds. Cette variante s'appelle le Trudgen. Règles Front Crawl est le plus rapide des quatre styles principaux. Étant donné que ce style n'est pas réglementé, diverses variantes de crawl comme le crawl australien, le crawl américain peuvent être utilisés dans les courses. Dans les événements de style libre, les nageurs peuvent nager dans n'importe quel style. Mais, dans les épreuves individuelles de relais quatre nages et quatre nages, les nageurs peuvent nager dans n'importe quel style autre que le dos, la brasse ou le papillon. Après avoir parcouru une longueur de couloir et à l'arrivée de la course, les nageurs doivent toucher le mur avec n'importe quelle partie de leur corps. Les nageurs doivent nager avec une partie de leur corps au-dessus de la surface de l'eau, tout au long de la course. Ils peuvent rester immergés dans l'eau tout en effectuant un virage et sur une distance ne dépassant pas 15 mètres après le départ et chaque virage.
1NIgoZ. 133 481 149 470 100 452 88 423 293

en natation l autre nom du crawl