Adultère- Il surprend sa femme dans une maison close. Certains bars des abords de Djicoroni Para (une localité de la capitale malienne) sont devenus des lieux de refuge pour des hommes et des

Cet article date de plus de trois ans. Publié le 14/10/2018 1708 Mis à jour le 14/10/2018 1720 Durée de la vidéo 3 min. Article rédigé par "Il y avait une forte odeur de chair brûlée... C’était comme dans un film d’horreur", confie l’actrice Sarah Edmondson qui croyait intégrer l’élite de la secte de Keith Raniere en acceptant d’être marquée comme du bétail. Elle entrait plutôt dans le harem du gourou aujourd’hui en prison. Extrait du magazine "13h15 le dimanche" du 14 octobre 2018. Pour fêter l’anniversaire de son gourou Keith Raniere, la communauté de la secte NXIVM prononcer Nexium lui organise une semaine de fête "Bon anniversaire à notre visionnaire", déclare la maîtresse de cérémonie. En cadeau, le fondateur de cette organisation, basée dans l’Etat de New York, s’offre des femmes qu’il repère pendant des sorties collectives pour alimenter son harem, soit un groupe d’une douzaine d’esclaves sexuelles. Sa plus belle conquête est l’actrice américaine Allison Mack, vue notamment dans la série télé Smallville. Keith Raniere se sert alors de sa notoriété comme d’un faire-valoir. Il réalise avec elle des vidéos de propagande diffusées sur Internet pour attirer plus d’adeptes "Tu vas trouver ton moi essentiel, un être unique", dit-il à la jeune femme qui éponge quelques larmes sous le coup de l’émotion. "C’est quelque chose que j’attendais…" lui répond-elle. "La femme sur la table criait comme un porc qu’on égorge" La disciple Allison Mack a peut-être dépassé son maître, car c’est elle qui aurait eu l’idée du marquage au fer rouge des recrues. Son amie l’actrice Sarah Edmondson va faire partie des cobayes. En mars 2018, elle est invitée avec quatre autres jeunes femmes chez Allison, pensant intégrer un groupe secret, l’élite de la secte. C'est en fait le harem du gourou. La comédienne canadienne subit alors ce rituel initiatique qu’elle est la première à dénoncer publiquement. "Il y avait une forte odeur de chair brûlée, confie-t-elle magaine "13h15 le dimanche" Facebook, Twitter, 13h15. Nous étions en pleurs. C’était comme dans un film d’horreur. La femme sur la table criait comme un porc qu’on égorge, comme un animal qu’on marque au fer rouge. Je m’étais engagée, j’avais dit que je le ferais et je l’ai fait, même si tout en moi hurlait 'Sauve-toi de là !'" Sur sa peau désormais, les initiales KR, pour Keith Raniere, arrêté en mars 2018 pour trafic sexuel. Et aussi AM, pour Allison Mack, incarcérée le mois suivant pour l’avoir aidé à recruter des esclaves sexuelles. Extrait de "L'Amérique des gourous", diffusé dans le magazine "13h15 le dimanche" du 14 octobre 2018.

Eneffet, il ne se passe pas un jour sans que l’on entende parler de ce genre de faits divers. La dernière en date concerne un Nigérian du nom de John vivant en Afrique du Sud, ce dernier aurait tout d’abord engrossé une femme et a offert ensuite un cadeau faramineux au mari de la dame. Les faits ont été rapportés par le site Daily Live.
Jacqueline Samuel. Crédits photo The Snuggery. Afin de financer ses études, Jacqueline Samuel a décidé de faire payer ses câlins. Les prestations oscillent entre 40 et140 euros et sont exemptées de toutes relations sexuelles. Prenez une pause. Faîtes un câlin. C’est en suivant ce conseil que Jacqueline Samuel a choisi d’exercer le métier le plus reposant du monde. Pour subvenir aux besoins de son fils et pour payer ses propres études, cette étudiante américaine de 29 ans a décidé de tarifer ses câlins. Se définissant comme une professionnelle du câlin», elle a créé le site web The Snuggery pour y proposer ses services. Je crois que je suis née en sachant comment bien me blottir contre quelqu’un. Je trouve cela spirituel et amusant», explique-t-elle. Les Américains manquent de câlins Je suis passionnée par le toucher. Je comprends le rôle que cela peut jouer dans notre sentiment de bien-être. Ayant voyagé partout dans le monde, en interaction avec diverses cultures, j’ai remarqué qu’il y avait un manque chez les Américains» note-t-elle sur son site. Dans sa maison située à Rochester état de New York, Jacqueline Samuel propose diverses prestations aidée d’une seconde jeune femme ,Coleen. Elles se présentent comme des Snuggler», des femmes douillettes, capable de créer un cocon. Les séances peuvent durer de 45 à 90 minutes et sont facturées entre 50 et 90 dollars 40 et 70 euros. Mais les clients peuvent également s’assoupir avec les deux jeunes femmes pour un tarif qui varie entre 100 et 180 dollars 78 et 140 euros. Dans une interview au Daily Mail , l’étudiante confie que la clientèle est extrêmement diverse. Étudiants, retraités et anciens combattants se manifestent souvent. Certains clients âgés et récemment veufs ont besoin de se retrouver avec quelqu’un. Des plus jeunes se trouvent dans des relations compliquées, lorsque d’autres viennent juste par curiosité», confie-t-elle. Jackie avoue parfois se blottir contre une trentaine d’hommes par semaine et peut gagner jusqu’à 255 dollars 200 euros par jour. Une activité dérangeante Cependant une condition doit être respectée la nudité est proscrite et il est interdit d’envisager des relations sexuelles. La règle est fixée à l’avance. Elle reconnaît recevoir énormément d’appels ou mails lui demandant si le câlin peut aller plus loin. Si la réponse est non, Il arrive qu’il y ait un éveil sexuel, c’est parfaitement normal et personne ne devrait se sentir gêné de cela», avance-t-elle sur son site. Mais hors de son chalet confortable, son activité n’est pas perçue d’un bon œil. Beaucoup estiment que cela relève du domaine de la prostitution. Son université s’est par ailleurs montrée opposée et menace même de l’exclure. La situation ne dérange guère la jeune femme, car ses clients l’encouragent à poursuivre ce business. Parmi ses clients réguliers, Tim raconte que ces séances de méditation» auprès de la jeune femme l’ont aidé après sa rupture amoureuse. Ce n’est pas de la tromperie, il n’y a rien d’immoral», confie-t-il au Daily Mail .Depuis il n’est plus célibataire, mais continue à réclamer à Jacqueline son traditionnel câlin. LIRE AUSSI » Vendre des pixels pour financer ses études » Les artistes s’emparent de l’intimité des internautes » Une étudiante brésilienne vend sa virginité euros NewsletterRecevez tous les mardis le meilleur de l’info étudiante !
Finnovembre, un commerçant de Saujon, en Charente-Maritime, apprend la liaison de sa femme avec son voisin. Décidé à lui faire payer cette trahison, il le passe à tabac puis revient pour le
Publié le 25/06/2019 à 14h47 Modifié le 26/06/2019 à 09h26 dans la catégorie Emotion Il avait laissé sa conjointe et sa chienne ensemble. Lui avait un voyage d’affaires. Mais, la caméra de surveillance de la cuisine a détecté un mouvement suspect, après minuit… Sa concubine et sa chienne s’étaient mises à danser en plein milieu de la pièce. Une scène irrésistible qui lui a permis de dormir sur ses deux oreilles. © Jose Perez La vie ne peut pas être plus parfaite. José Perez vit une formidable histoire d’amour avec sa compagne, mais aussi avec sa chienne, Nina. Sauf que l’homme a récemment dû partir en voyage d’affaires, loin de son domicile. Il a donc confié son protégé à sa petite-amie. Afin de s’inquiéter le moins possible, il a installé une caméra dans la cuisine, pour surveiller les faits et gestes de Nina pendant les absences de sa conjointe… elle aussi au travail la journée. Une vidéo qui devait également envoyer un signal d’alerte en cas de mouvement suspect après minuit. Et cette nuit-là, José a été réveillé par l’alarme… Nina et la copine de José sont très proches Point de cambrioleur, mais plutôt une drôle de scène. Depuis sa chambre d’hôtel, il pouvait voir que sa compagne et Nina s’éclataient ensemble. Les deux dansaient en son absence. Une complicité qui ne le surprenait pas vraiment. Elles sont très proches l’une de l’autre. Nina est très heureuse de voir ma copine quand elle rentre du travail. Bien plus heureuse que quand c’est moi », avoue-t-il à The Dodo, sans une once de jalousie. Son retour a été fêté comme il se doit par Nina. Même si, là encore, elle fut moins folle que pour sa maîtresse…A lire aussi Cette chienne recueillie par les bénévoles d'un refuge quand elle était petite a passé toute sa vie à attendre sa nouvelle famille via Gfycat Par Alexandre Dieu Rédacteur en chef Lire la suitePassionné d’écriture, des réseaux sociaux et bien évidemment des animaux, Alexandre Dieu est le rédacteur en chef de Woopets. Diplômé d’un Master Métiers de la rédaction, il travaille en harmonie avec 2 vétérinaires, une éducatrice canine, un journaliste et 2 rédacteurs spécialisés mobilisés pour Woopets.
Misà jour le 9 novembre 2014 à 16h38. Lancée en juillet dernier, « 3nder » permet aux couples et aux célibataires de dégoter un plan à trois. Une appli qui promet de combler ses
Je m'appelle Sandrine, j'ai 31 ans, je suis employée dans une agence de pub. Le texte qui suit est inspiré de faits réels, je suis aujourd'hui divorcée mais à l'époque, j'avais 28 ans et je vivais avec mon mari, Marc, dans un quartier résidentiel de province depuis près de 4 ans. Je suis plutôt grande 1m75 avec de longues jambes ayant comme point culminant de jolies petites fesses rondes, bien dessinées au dire des hommes qui ont eu le privilège de les contempler. Ma poitrine est harmonieuse sans être démesurée, mon 95B étant aussi très apprécié. Je suis brune, les cheveux aux épaules, les yeux bruns verts, ma bouche est pulpeuse et gourmande. J'aime mon corps, je l'entretien et le cultive depuis mon adolescence. On m'a toujours dit que j'étais belle et je n'ai jamais eu de difficulté à le croire et de fait, à séduire les hommes. Au collège déjà, j'étais celle qu'on regardait… en avance sur les autres filles, je m'habillais de façon provocante, pour choquer, aussi bien ma famille que mes copines coincées. J'aimais plaire ! Sentir le regard insistant des mecs sur mon cul m'excitait au plus haut point… j'en rajoutais donc et ne me faisais pas prier pour attirer les convoitises. J'ai pourtant mis longtemps à franchir le pas… j'aimais plaire et séduire mais je m'amusais à allumer sans conclure. C'était un jeu et c'était tellement jouissif d'exciter tous ces hommes, et si facilement, que je n'en désirais pas plus. Pourquoi auraient-ils eu la chance eux plus qu'un autre de me déflorer ? Ils se contentaient donc de ce que je voulais bien leur donner... et j'étais parfois très généreuse ! J'aimais me donner en spectacle, faisant contraster l'image de la jeune fille sage de bonne famille le jour, à celle de la garce aguichante la nuit. Me faire traiter de salope » en soirée par des hommes frustrés ne me gênait nullement, bien au contraire ! Je me respectais, c'était là l'essentiel. Bref, je n'ai donc pas eu la moindre expérience avant 18 ans, avant qu'on me résiste et m'arrache, presque de force, mon dépucelage. Je voulais un Homme et j'ai rencontré Marc, de 5 ans mon aîné. De suite, il a su comment me prendre et dompter la chienne qui était en moi. Lui aussi étant très branché sexe, je me suis mise au diapason sans toutefois tout accepter… j'ai endossé mon rôle de femme soumise à son mari avec beaucoup de plaisir, ça me changeait et je pensais que c'était comme ça que ça devait se passer dans une relation stable. Je m'habillais de façon très classique, en tailleur, refusant de porter string et autres dessous trop affriolants, lui refusant même selon mon bon vouloir une position, un lieu, un fantasme… je lui résistais et pensais le garder de cette façon. Si on donne tout, ils ne veulent plus rien, pensais-je ! Marc me trompait, je le savais. Il se tirait tout ce qui se présentait et se détournait de moi. Je l'aimais comme une folle et j'en étais très malheureuse mais je m'étais enfermée dans mon personnage de femme coincée, BCBG et pudique, pensant que c'était ce qui le branchait. C'était aussi la seule facette qu'il connaissait de moi et je ne savais comment opérer la transformation » et lui faire comprendre que je voulais être SA femme, la seule et l'unique. Il avait beau me tromper allégrement, il me charriait souvent avec mon chef, Pierre, qu'il soupçonnait d'être mon amant. Il n'en était rien, ce petit bureaucrate n'avait aucune chance mais Marc était jaloux, très jaloux ! Je décidai donc de m'en servir et j'acceptai l'invitation de Pierre à aller prendre un verre, dans un café à deux pas de la boîte. Pierre se voulait très insistant, il matait mon décolleté plongeant sans complexe, passait sa main sous la table, la posant sur ma cuisse et me caressant ensuite l'entre cuisse sans autre précaution. Il me prenait très certainement pour une fille docile, dingue de son patron, quel crétin ! Je jouais le jeu… peut-être allait-il réveiller mes vieux démons, qui sait ! Ca faisait tellement longtemps qu'un autre homme ne m'avait pas touché… Pierre me ramena à sa jolie voiture et me prit la bouche quasi instantanément, me pelotant grassement, une main sur mes seins, une autre cherchant ma chatte. J'aimais tellement Marc que, même excitée par la situation, je me sentais incapable d'aller plus loin et telle une bourgeoise effarouchée, je décidai d'écourter ce cuissage intempestif. En rentrant à la maison ce jour là, j'ai trouvé Marc debout dans le salon, très en colère. Il m'avait suivi et avait tout vu » selon ses dire. Il me traita de tous les noms, j'étais une pute, une salope indigne de son amour, une traînée qui se tapait son patron depuis des lustres... Je me sentais sale, coupable… en larme, je le suppliais de me pardonner - Marc, mon chéri, je t'aime, je suis désolée, pardonne moi… il n'est rien pour moi, nous avons rien fait ensemble, je te le jure… » - Ne jure pas salope, t'as aimé te faire sauter par ce minable, je le sais ! Je t'ai vu de mes yeux ! » - Marc, je…. » - Tais-toi ! Je ne veux plus t'entendre ! A genoux, suce-moi ! SUCE MOI je te dis et t'as intérêt à ne pas jouer ta mijaurée et à y mettre du tien, depuis le temps que tu me le fais ce coup là ! » Troublée, en larme, je m'exécutai sans un mot… Je déboutonnai son pantalon, le fit tomber sur ses genoux et le pris en bouche, doucement, le suçant en bonne élève, sur toute sa longueur… il était déjà raide mais son érection doubla dans ma bouche, sa bite était si tendue qu'elle me faisait mal. Je lui léchai les couilles, je savais qu'il aimait ça mais il me prit brutalement par les cheveux et força le mouvement, entraînant mes lèvres dans un va et vient douloureux. Je savais à peine respirer, j'étouffais mais il s'en moquait, je ne le l'avais jamais vu dans un tel état. Il grognait et m'était méconnaissable mais la chaleur qui se dégageait de mon bas ventre attestait que j'aimais ça. J'aimais être sa chose, sa bouche, rien qu'une bouche, rien qu'une suceuse… Enfin, il se crispa, se retira et m'éjacula sur le visage. C'était une première pour moi, je me sentais à la fois souillée et heureuse, complètement dominée… Marc se rhabilla sans un mot, puis après m'avoir encouragé à me débarbouiller, il me lança depuis le salon - Ce n'était qu'un début, tu vas me le payer ! » - … - Ce soir, on reçoit un invité, change toi et fais-nous quelque chose de bon ! » - Mais Marc, je n'ai pas… » - Je ne t'ai pas demandé de discuter traînée, je reviens à 20h, sois prête ! Si tu ne m'obéis pas au doigt et à l'œil, je te mets dehors ! Ah tu as voulu jouer à ce jeu là… » et il claqua la porte. Je ne l'avais jamais entendu parler de cette façon et encore moins en s'adressant à moi ! Qu'avais-je fait ? Il me faisait presque peur… mais force est de constater que j'étais trempée. Il arriva à 20h30, souriant, une bouteille de champagne à la main et accompagné, quelle ne fut pas ma surprise, d'Emilie ! J'étais effondrée, je haïssais cette fille ! Elle avait tout pour m'exaspérer et ne s'en privait d'ailleurs pas ! Emilie avait 29 ans, jeune cadre d'une grande entreprise parisienne, nous l'avions rencontrée en vacance à Bali il y a deux ans. A l'époque, Marc insistait pour que nous nous voyions avec son copain de l'époque, plutôt mignon en passant. Je le soupçonnais de vouloir partouzer et j'y avais mis mon veto après lui avoir fait la gueule pendant près de quinze jours ! C'était le genre de fille dont les hommes raffolent et Marc restait bassement un homme blonde, une poitrine énorme toujours en évidence cette fille ne portait jamais de soutif !, un petit cul rebondi doté d'un string jamais longtemps caché, un visage d'ange contrastant avec son comportement d'allumeuse… Elle était vulgaire, maniérée, toujours à parler d'elle ou de son cul ! Quant elle était là, je n'existais plus… je rageais… - Tu connais Emilie ? Tu n'as pas l'exclusivité de l'extra conjugal ma chérie, ce soir, Emilie elle est officiellement ma femme » me lança Marc sur un ton conquérant. Je restais sans voix… sa femme… - Quand à toi, tu vas nous servir et nous obéir. Je vais te montrer qui est le maître ici… » - Alors, salope, on trompe son mari ? Va te changer, tu ne ressemble à rien dans tes loques de bourgeoise, tiens, voici de quoi ! » insista Emilie avec un sourire en coin. - Prends exemple sur Emilie, regarde comme elle est attirante, elle ! File ! » Je couru machinalement à la salle du bain pour déballer les vêtements qui se trouvaient dans le sac d'Emilie. Je me sentais si mal mais je tenais à mon Homme, je devais payer pour ma méconduite, je m'exécutai donc, le ventre noué. Une jupe noire, en cuir, ultra courte. Des bas résilles, un string ficelle rouge, un soutien-gorge noir ne possédant que des armatures et une paire d'escarpins. Le complet trottoir !! Je ne pouvais pas mettre ça !! Quel horreur ! Le string n'étais même pas propre, il portait encore son odeur intime… Je revins 15 longues minutes plus tard, fringuée pour le coup, comme une pute. Marc était assis, entièrement nu, ses vêtements éparpillés un peu partout dans mon salon. Emilie était déjà à genoux, en jarretelle et string noir mettant, je dois l'avouer, magnifiquement son cul en valeur. Très concentrée, elle suçait Marc, se permettant même d'émettre des petits cris de jouissance. Je n'en revenais pas cette pétasse suçait MON Homme sous mes yeux! Et le pire c'était qu'il avait l'air d'apprécier plus que de raison cette pipe gourmande effectuée par cette experte blonde ! Emilie ondulait, bougeant sa croupe comme si un tiers la prenait par derrière. Figée, comme pétrifiée, je ne pouvais malgré moi pas détourner les yeux de ce spectacle affligeant. J'étais prostrée, invisible à leurs yeux. Soudain, Marc m'aperçut - Tu vois que tu peux être bandante toi aussi ! » me dit Marc. Mais ne reste pas là bêtement, ramasse nos fringues et sers nous à boire ! » Emilie se redressa de son jouet et dit - Pas comme ça, salope, ne plie pas les genoux que mon homme puisse voir ton gros cul ! D'ailleurs, tourne-toi, je veux aussi le voir ! » - Et réponds quant on te parle, tu te crois où !!? » - Mais oui ! » dis-je à voix basse sur un ton agacé. - Attends, répète un peu ? Je veux entendre oui monsieur ! Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée ! » reprit-il sèchement. - Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée. » J'avançai donc dans leur direction, me tournai et leur offris mon cul. - Et dire que tu as dû te farcir ce cul immonde pendant des années, mon pauvre chéri ! » fit cyniquement Emilie. Enlève moi ce string, tu ne mérites pas de le porter ! » J'enlevai donc le sous-vêtement rouge. - T'as vu comme elle mouille la salope ?! Elle dégouline… Ah ça l'excite de me voir avec mon mec… voyeuse ! Vas donc raser ta chatte pendant que mon mec me baise, tu nous fais honte ! » Penchée en avant, les seins pendant dans le vide, la jupe remontée bien au dessus des fesses, mon intimité offerte à leur regard critique, les imaginant mater ensemble mon cul que commentait Emilie, je me sentais au plus mal. C'est en larme que je rejoignis la salle de bain afin de me raser, comme exigé par Emilie. Quand je revins dans le salon, elle était à quatre pattes, en levrette. Marc lui assénait des coups de butoir d'une grande force. A chaque coup, son corps partait en avant, ses seins généreux touchant le sol et elle gémissait de plus belle, la tête redressée. Marc accéléra le rythme et ils jouirent vraisemblablement en même temps. Emilie, toujours à quatre pattes, se tourna vers moi - Viens me lécher la chatte sale pute, enlève avec ta langue le foutre qui coule le long de mes cuisses ! Et applique toi ou tu risques de le regretter ! » Je me mis donc moi aussi à quatre pattes afin de la nettoyer, comme elle me l'avait précédemment ordonné. Je n'avais jamais été attiré par un sexe de femme et pourtant, timidement, je commençai par donner des coups de langue sur ses grandes lèvres, la suçotant et la léchant comme un chien laperait son eau, allant chercher avec celle-ci le foutre de mon mari qui coulait entre ses cuisses. Je me sentais excitée comme jamais, je mis donc du cœur à l'ouvrage, insistant à l'entrée de son vagin, la pénétrant de ma langue, léchant son anus odorant avec avidité. Elle était si douce. Elle gémissait légèrement à chaque coup de langue. J'étais humiliée, trompée, bafouée et malgré tout cela, curieusement, j'y prenais beaucoup de plaisir… je glissai un doigt en direction de mon vagin, et me masturbai, doucement, le visage toujours enfoui dans sa vulve. J'avais chaud, ma chatte était en feu, il fallait que je me soulage. A défaut d'une bonne queue, je me contentais des doigts que j'enfonçais au plus profond… Je me fis soudain honte et arrêta brusquement. Emilie se releva d'un geste et me contempla de sa superbe. Elle était belle, transpirante, les cheveux collés par la sueur, haletante. Ses seins étaient magnifiques, lourds, fermes. Son ventre était plat, musclé et se terminait sur un pubis parfaitement entretenu et taillé, d'un blond un ton plus foncé que ses chevelure. Elle tourna autour de moi comme un vautour autour de sa proie et se stoppa net derrière moi. - Baisse la tête m'ordonna t-elle ! Et présente moi ton cul, que je vois si tu es capable de te raser correctement ! » - Bien madame… » dis-je. D'un grand geste, elle me fessa et recommença de plus belle. Je sentais la douleur m'envahir, de plus en plus présente, presque insoutenable. Elle continua, de plus en plus fort, lâchant un tu aimes ça salope », tu le mérites, crois mois » à chaque claque. Marc regardait, la queue à la main, sans mot dire. - Tu ne m'as pas dit qu'elle refusait la sodomie ? » - Si, si » fit Marc, satisfait de la question - Et bien, on va arranger ça, elle n'a pas trop le choix dans sa position ! » assura Emilie avant de s'éloigner et de revenir avec un gode monstrueux. - Oui, oui chérie, c'est bien pour ton petit cul, et tu vas aimer ! Une salope digne de ce nom prend dans son cul, c'est bien normal. Et à bien te regarder, tu fais plus pute que salope ! Alors tu vas te diriger vers la baie vitrée et présenter ton cul à la vitre, si tu y mets du tiens, tu vas peut-être arriver à te faire sauter par un client en manque ! » - Mais Emilie, t'es dingue… Marc… tu ne vas pas la laisser, je ne peux pas faire ça ! Pour quoi vais-je passer moi ? Et les voisins ?! » - Il fallait y penser avant de te faire tringlée par le premier venu ! Obéis ou sinon… » insista Marc. A quatre pattes, je rampai vers la grande baie vitrée de notre salon donnant sur la route. Emilie se mit derrière moi et enfonça d'abord un doigt dans mon cul, puis un deuxième. Je coupai ma respiration, me crispa sur ses doigts. J'ondulais, facilitant ainsi sa pénétration. Elle fit des allers-retours, j'étais au bord de l'orgasme puis, d'un coup, elle retira ses doits et me les fit lécher. Elle empoigna ensuite le gode et, centimètre par centimètre, planta cet objet de torture au fond de mes entrailles. Mon petit trou, vierge jusqu'ici faisait de la résistance mais Emilie insista jusqu'à me l'enfoncer jusqu'à la garde. La douleur était atroce, les larmes coulaient sur mes joues… J'étais offerte, comme une chatte en manque au regard de tout notre voisinage, enculée par une bite en plastique trônant à la sortie de mon anus. J'étais en dessous de tout malgré cette chaleur qui m'envahissait, me brûlait sans relâche le bas ventre. Oui, j'aimais ça… - C'est bon, c'est tellement bon… j'aime être défoncée, sodomisée, prise violemment. Prends moi, je t'en supplie Marc, prends moi la chatte, défonce moi ! J'aime qu'on me prenne le cul, je suis une pute, rien qu'une pute, juste une pute ! Ta chatte ! Je t'en supplie… » dis-je à deux doigts de la jouissance. - Je t'ordonne de frapper à la vitre quand un passant s'approche » dit impassiblement Emilie. Je veux que tout le quartier sache… Et dorénavant, dès que Marc te le demandera, tu te mettras à quatre pattes et il te sodomisera, ce sera d'ailleurs ta seule pénétration et ton ultime punition. Enfin, je compte bien passer quelques soirée avec mon chéri dans ta chambre, dans ton lit, et je ne veux pas que tu sois dans les parages, tu découcheras donc ces soirs là ! » - Nous sortons, ce soir nous dînons au resto » lança Marc et à notre retour, tu auras nettoyé tout ce bordel… » C'est ainsi que je pris conscience qu'on ne changeait pas... J'aimais le sexe, je vivais désormais pour ça et je ne pouvais me contenter de peu… Le soir même, je quittais la maison… j'étais enfin celle que j'ai toujours été une salope. Auteursandrine la salope © 2000 Docile tout droits réservés Le18 avril 2009, en rentrant d'une soirée entre amis, Caroline Doléans a perdu sa dignité, son innocence et ses illusions. Victime d'un viol collectif dans un train entre Poissy et Les Mureaux, la jeune femme va ensuite prendre une décision surprenante pour l'aider à reprendre confiance en elle et à retrouver la "dignité à jamais perdue dans une rame puante" : devenir Accueil / Reebok / Vêtements Femme / Débardeurs / Débardeurs Débardeur Classics Rib One-Shoulder Black Reebok Femme Promo ! € € Débardeur Classics Rib One-Shoulder,subtitleUn débardeur asymétrique en coton éco-responsable,Se détendre à la maison. Brunch entre amis. Quel que soit ton programme, ce débardeur pour femme t’offre un look décontracté… En stock Description Avis 0 Contactez-Nous Livraison Reebok New Balance Description Débardeur Classics Rib One-Shoulder,subtitleUn débardeur asymétrique en coton éco-responsable,Se détendre à la maison. Brunch entre amis. Quel que soit ton programme, ce débardeur pour femme t’offre un look décontracté. Les couleurs neutres te permettent de le porter avec toutes tes tenues. Avec sa maille douce et son logo Reebok Vector brodé, il offre un effet texturé et un confort douillet. nnNos produits en coton sont entièrement issus de la culture du coton écologique et sont fabriqués à partir d’au moins 50 % de coton Better Cotton. Moyens de paiement 100 % securisé Livraison gratuite plus de € 60 Paiement sécurisé par le protocole SSL Retour gratuit sous 20-30 jours Paiements Taille Homme Tableau des mesures - chaussures EUR CM UK USA Homme 34 cm 23 cm 3 4 35 cm 36 cm 4 5 cm 24 cm 5 6 cm 39 25 cm 6 7 40 cm 26 cm 7 8 41 cm 42 27 cm 8 9 cm 43 28 cm 9 10 44 cm 29 cm 10 11 45 cm 30 cm 11 12 46 cm 47 31 cm 12 13 48 cm 32 cm 13 14 49 cm 50 33 cm 14 15 TROUVEZ VOTRE TAILLE CM EUR Women's EUR Men's 21 34 32 21,5 34,5 32,5 22 35 33 22,5 35,5 34 23 36 34,5 23,3 - 35 23,5 37 36 23,6 - 36,5 24 37,5 37,5 24,5 38 38,5 25 38,5 39 25,5 39 40 26 40 40,5 26,5 40,5 41 27 41 42 27,5 42 42,5 28 42,5 43 28,5 43 44 29 44 44,5 29,5 44,5 45 30 45 45,5 30,5 46 46 31 47 47 31,5 48 48 32 48,5 48,5 32,5 - 49 33 - 50 EUR Women's UK Women's EUR Men's UK Men's 34 1,5 32 1 34,5 2 32,5 1,5 35 2,5 33 2 35,5 3 34 2,5 36 3,5 34,5 3 - - 35 3,5 37 4 36 4 - - 36,5 4,5 37,5 4,5 37,5 5 38 5 38,5 5,5 38,5 5,5 39 6 39 6 40 6,5 40 6,5 40,5 7 40,5 7 41 7,5 41 7,5 42 8 42 8 42,5 8,5 42,5 8,5 43 9 43 9 44 9,5 44 9,5 44,5 10 44,5 10 45 10,5 45 10,5 45,5 11 46 11 46 11,5 47 11,5 47 12 48 12 48 12,5 48,5 12,5 48,5 13 - - 49 13,5 - - 50 14 Tailles t-shirts et hauts Hommes Étiquette 1. POITRINE 2. TAILLE 3. HANCHES XS 82 - 87 cm 71 - 75 cm 82 - 86 cm S 88 - 94 cm 76 - 82 cm 87 - 93 cm M 95 - 102 cm 83 - 90 cm 94 - 101 cm L 103 - 111 cm 91 - 99 cm 102 - 110 cm XL 112 - 121 cm 30 - 109 cm 111 - 119 cm 2XL 122 - 132 cm 110 - 121 cm 120 - 128 cm 3XL 133 - 144 cm 122 - 134 cm 129 - 138 cm Tailles pantalons et shorts Hommes Étiquette 1. TAILLE 2. HANCHES 3. ENTREJAMBE XS 71 - 75 cm 82 - 86 cm 81 cm S 76 - 82 cm 87 - 93 cm cm M 83 - 90 cm 94 - 101 cm 82 cm L 91 - 99 cm 102 - 110 cm cm XL 30 - 109 cm 111 - 119 cm 83cm 2XL 110 - 121 cm 120 - 128 cm 3XL 122 - 134 cm 129 - 138 cm 82 cm Tailles survêtements Hommes Étiquette 1. POITRINE 2. TAILLE 3. HANCHES 4. ENTREJAMBE XS 82 - 87 cm 71 - 75 cm 82 - 86 cm 81 cm S 88 - 94 cm 76 - 82 cm 87 - 93 cm cm M 95 - 102 cm 83 - 90 cm 94 - 101 cm 82 cm L 103 - 111 cm 91 - 99 cm 102 - 110 cm cm XL 112 - 121 cm 30 - 109 cm 111 - 119 cm 83cm 2XL 122 - 132 cm 110 - 121 cm 120 - 128 cm 3XL 133 - 144 cm 122 - 134 cm 129 - 138 cm 82 cm Taille Femme Tableau des mesures - chaussures EUR CM UK USA Femme 35 22 cm 5 cm 3 36 23 cm 6 37 cm 4 65 24 cm 7 38 cm 5 25 cm 8 39 cm 6 40 26 cm 9 cm 7 41 27 cm 10 42 cm 8 28 cm 11 44 29 cm 12 Tailles t-shirts et hauts Femmes Étiquette 1. POITRINE 2. TAILLE 3. HANCHES XXS / 26 - 28 73 - 76 cm 57 - 60 cm 82 - 85 cm XS / 30 - 32 77 - 82 cm 61 - 66 cm 86 - 91 cm S / 34 - 36 83 - 88 cm 67 - 72 cm 92 - 97 cm M / 38 - 40 89 - 94 cm 73 - 78 cm 98 - 103 cm L / 42 - 44 95 - 101 cm 79 - 85 cm 104 - 110 cm XL / 46 - 48 102 - 109 cm 86 - 94 cm 111 - 117 cm 2XL / 50 - 52 110 - 118 cm 94 - 104 cm 118 - 125 cm 1X / 16W 108 - 117 cm 93 - 102 cm 115 - 124 cm 2X / 18-20W 118 - 127 cm 103 - 112 cm 125 - 134 cm 3X / 22-24W 128 - 137 cm 113 - 122 cm 135 - 144 cm 3X / 26-28W 138 - 147 cm 123 - 132 cm 145 - 154 cm Tableau des tailles internationales Étiquette US UK DE FR IT XXS 0 - 2 26 - 28 28 - 30 32 - 34 XS 0 - 2 4 - 6 30 - 32 32 - 34 36 - 38 S 4 - 6 8 - 10 34 - 36 36 - 38 40 - 42 M 8 - 10 12 - 14 38 - 40 40 - 42 44 - 46 L 12 - 14 16 - 18 42 - 44 44 - 46 48 - 50 XL 16 - 18 20 - 22 46 - 48 48 - 50 52 - 54 2XL 20 - 22 24 - 26 50 - 52 52 - 54 56 - 58 Soutien-gorge Taille de brassière A B C 80 2XS XS XS 85 XS XS S 90 S S M 95 M M L 100 L L L 105 L XL XL 110 XL XL XL 115 2XL 2XL 2XL Taille de brassière D E 80 XS S 85 S M 90 M L 95 L XL 100 XL XL 105 XL 2XL 110 2XL 2XL 115 2XL 2XL Tailles pantalons et shorts Femmes Étiquette 1. TAILLE 2. HANCHES 3. ENTREJAMBE XXS 0 - 2 - - XS 4 - 6 24 - 26" 34 - 36" S 8 - 10 27 - 28" 37 - 38" M 12 - 14 29 - 31" 39 - 41" L 16 - 18 32 - 34" 42 - 43" XL 20 - 22 35 - 37" 44 - 46" 2XL 24 - 26 38 - 41" 47 - 49" Tableau des tailles internationales Étiquette US UK DE FR IT XXS 0 - 2 26 - 28 28 - 30 32 - 34 XS 0 - 2 4 - 6 30 - 32 32 - 34 36 - 38 S 4 - 6 8 - 10 34 - 36 36 - 38 40 - 42 M 8 - 10 12 - 14 38 - 40 40 - 42 44 - 46 L 12 - 14 16 - 18 42 - 44 44 - 46 48 - 50 XL 16 - 18 20 - 22 46 - 48 48 - 50 52 - 54 2XL 20 - 22 24 - 26 50 - 52 52 - 54 56 - 58 Tailles survêtements Femmes Étiquette 1. POITRINE 2. TAILLE 3. HANCHES 4. ENTREJAMBE XXS 73 - 76 cm 57 - 60 cm 82 - 85 cm cm XS 77 - 82 cm 61 - 66 cm 86 - 91 cm 78 cm S 83 - 88 cm 67 - 72 cm 92 - 97 cm cm M 89 - 94 cm 73 - 78 cm 98 - 103 cm 79 cm L 95 - 101 cm 79 - 85 cm 104 - 110 cm cm XL 102 - 109 cm 86 - 94 cm 111 - 117 cm 80 cm 2XL 110 - 118 cm 94 - 104 cm 118 - 125 cm cm Tableau des tailles internationales Étiquette US UK DE FR IT XXS 0 - 2 26 - 28 28 - 30 32 - 34 XS 0 - 2 4 - 6 30 - 32 32 - 34 36 - 38 S 4 - 6 8 - 10 34 - 36 36 - 38 40 - 42 M 8 - 10 12 - 14 38 - 40 40 - 42 44 - 46 L 12 - 14 16 - 18 42 - 44 44 - 46 48 - 50 XL 16 - 18 20 - 22 46 - 48 48 - 50 52 - 54 2XL 20 - 22 24 - 26 50 - 52 52 - 54 56 - 58 Taille Homme Chaussures Homme Tailles & Coupes US Hommes US Femmes UK EU Longueur cm 4 36 22 6 4 37 5 23 7 5 38 6 24 8 6 7 40 25 9 7 8 26 10 8 42 9 27 11 9 43 10 44 28 12 10 11 45 29 13 11 12 30 14 12 47 13 15 31 14 - 49 32 15 - 50 33 16 - 51 34 17 - 52 35 18 - 53 36 19 - 54 37 20 - 55 38 Largeur Taille Largeur Chaussures pour Homme B D 2E 4E 6E Etroit Standard Large X-Large XX-Large Taille vêtements Homme Poitrine Taille Fessier XS 84-89 69-74 81-86 S 89-97 74-79 86-94 M 97-104 79-86 94-102 L 104-112 86-94 102-109 XL 112-122 94-104 109-117 XXL 122-135 104-117 117-127 3XL 135-145 117-127 127-137 4XL 145-155 127-137 137-147 5XL 155-165 137-147 147-158 Unisexe Taille Similaire à Hauts Similaire à Les Pantalons Poitrine Taille Fessier U1 Femmes XS-S Hommes XXS-XS Femmes XS-S Hommes XS-S 81-89 cm cm cm U2 Femmes M-L Hommes S-M Femmes S-M Hommes S-M cm cm cm U3 Femmes L-XL Hommes M-L Femmes L-XL Hommes L-XL cm 81-94 cm cm U4 Femmes XL-2XL Hommes L-XL Femmes XL-2XL Hommes XL-2XL cm cm 114-122 cm U5 Femmes 1X-2X Hommes XL-2XL Femmes 1X-2X Hommes 2XL-3XL 122-132 cm cm cm Tailles Accessoires - Chaussettes Hommes Chaussettes S M L XL US Hommes 10-12 12-15 Europe Hommes 35-38 39-42 43-46 47-48 UK Hommes 9-11 Taille Femme Chaussures Femme Tailles & Coupes US Femmes US Hommes UK EU Longueur cm 4 2 34 21 3 5 3 35 22 4 36 6 4 23 5 37 7 5 24 6 38 8 6 39 25 7 40 9 7 26 8 41 10 8 27 9 11 9 43 28 10 12 10 44 29 11 45 13 11 30 12 46 14 12 31 15 13 13 48 32 Largeur Taille Largeur Chaussures pour Femme 2A B D 2E Etroit Standard Large X-Large Taille vêtements Femme Poitrine Taille Fessier XS 0-2 76-81 61-66 84-89 S 4-6 81-89 66-71 89-97 M 8-10 89-94 71-79 97-102 L 12-14 94-102 79-86 102-109 XL 16-18 102-112 86-97 109-119 XXL 20-22 112-119 97-107 119-127 1X 16W-18W 112-119 102-112 119-127 2X 20W-22W 119-132 112-122 127-137 3X 24W-26W 132-142 122-132 137-147 Unisexe Taille Similaire à Hauts Similaire à Les Pantalons Poitrine Taille Fessier U1 Femmes XS-S Hommes XXS-XS Femmes XS-S Hommes XS-S 81-89 cm cm cm U2 Femmes M-L Hommes S-M Femmes S-M Hommes S-M cm cm cm U3 Femmes L-XL Hommes M-L Femmes L-XL Hommes L-XL cm 81-94 cm cm U4 Femmes XL-2XL Hommes L-XL Femmes XL-2XL Hommes XL-2XL cm cm 114-122 cm U5 Femmes 1X-2X Hommes XL-2XL Femmes 1X-2X Hommes 2XL-3XL 122-132 cm cm cm Tailles Accessoires - Chaussettes Femmes Chaussettes S M L XL US Femmes 8-10 Europe Femmes 35-38 39-42 43-46 47-48 UK Femmes 9-11 Postedby Pamela Chandler on Saturday, June 20, 2020. « En tant que femme blanche mariée à un homme noir et élevant un enfant métis, j’ai dû désapprendre beaucoup de choses. J’ai aussi dû APPRENDRE deux fois plus. J’ai dû prendre conscience et commencer à remarquer des choses que mon esprit n’aurait jamais remarquées auparavant. Nous avons rencontré une femme dont la vie a été brisée en quelques minutes. Elle n’est malheureusement pas un cas isolé. Dans le cadre de sa thérapie, il lui a été conseillé de parler de son histoire. Elle vous la confie aujourd’hui. Je m’appelle Isabelle. J’ai 47 ans. Pour l’instant, je ne travaille plus, mais lorsque ma vie était calme j’occupais un poste d’Assistante de Direction dans un grand groupe. Ma vie n’a pas toujours été facile, je me suis mariée très jeune à 19 ans. Mon mari avait 25 ans et moi 22 ans lorsque notre petite fille est née. Nous l’avons élevée avec tellement d’amour. Quand elle a eu 6 ans, mon mari est mort dans un accident de voiture. Ça a été un véritable déchirement. J’ai perdu tous mes repères. Ma famille habitait loin, j’étais livrée à moi même pour toutes les démarches. Il m’a fallu accuser le coup et rester debout pour ma petite fille. Dans les mois qui ont suivi les obsèques, la famille de mon mari venait de moins en moins nous voir et peu à peu nous n’avons plus eu de nouvelles. C’est vrai que ma fille ressemble beaucoup à son papa physiquement, peut-être que la voir leur était devenu difficilement supportable, je ne sais pas. Je me suis accrochée, j’ai trouvé un poste de secrétaire, les horaires étaient plus simples pour moi, ça me permettait de m’adapter à l’école. Financièrement c’était très dur, car j’ai dû faire face aux dettes, nous avions acheté une petite maison en banlieue et bien sûr suite au décès je n’ai pas pu assumer seule. J’ai donc revendu la maison, et laisser partir le peu de souvenirs que j’avais avec mon mari ici. Une épreuve parmi tant d’autres en fait à ce moment-là… Ma fille était en bonne santé c’est tout ce qui comptait pour moi. J’ai trouvé un petit 2 pièces en location dans la même ville et j’ai remboursé les crédits. Ma fille a grandi sagement, je n’ai jamais eu de problèmes avec elle, elle avait de bonnes fréquentations , travaillait bien à l’école, et on avait réussi à établir une belle relation de confiance. Je peux même dire que nous étions assez complices. Elle a toujours été ma plus grande fierté. Lorsqu’elle a eu son bac, j’avais économisé en ne partant pas en vacances pendant plusieurs années pour lui permettre d’entrer dans une grande école de commerce. Durant l’été qui a précédé sa grande rentrée, il y a 6 ans, j’ai été invitée à un mariage. C’est là que j’ai rencontré cet homme, celui qui allait réussir à me réconcilier avec l’amour. Car oui durant toutes ces années je suis restée seule. La mort de mon mari avait été un trop grand choc et ma priorité était ma fille. Il est venu vers moi un peu comme dans les films, c’était drôle, tout comme lui d’ailleurs. Aussi drôle que séduisant. Il avait le même âge que moi. Il a très rapidement voulu faire des projets, mais s’est montré très patient lorsque je lui ai expliqué ma vie et le temps dont j’avais besoin. Il a respecté mon rythme. Il était là pour moi, tout le temps. Si j’allais faire des courses après le travail je pouvais le retrouver devant le supermarché pour m’aider à porter un simple sac. Il m’offrait des fleurs chaque semaine. Il m’a ensuite proposé de rencontrer sa famille qui pour la plupart habitait aux Antilles. Quelques mois après nous avons donc pris l’avion pour la Guadeloupe – sans ma fille. Toute sa famille s’est montrée adorable avec moi, j’ai tissé des liens très forts avec sa mère et sa grand-mère. J’avais ce sentiment de faire partie de la famille. Lorsque nous sommes rentrés en Métropole c’était à moi de lui présenter ma fille, j’appréhendais ce moment, j’avais peur, peur qu’elle m’en veuille ou m’accuse de vouloir effacer son papa, ou peur qu’elle ne l’apprécie pas. Je lui ai donc présenté un soir au restaurant. Ella a été très froide, mais est restée polie par respect pour moi. Je sentais que cette nouvelle étape de ma vie la dérangeait, mais je me suis dit qu’avec le temps tout s’arrangerait… Notre relation se renforçait et il a naturellement évoqué le souhait de nous voir nous installer ensemble, mais même au bout de quelques années, je n’étais pas prête. Je préférais qu’il vienne passer les soirées à la maison ou vice-versa. À plusieurs reprises il m’a proposé d’inclure ma fille dans nos sorties, dans nos week-ends, j’étais touchée par son attention et avait vraiment le sentiment qu’il faisait des efforts pour améliorer sa relation avec ma fille. J’essayais aussi de privilégier des moments mère-fille en solo avec elle afin qu’elle ne se sente pas mise à l’écart même si elle avait la vingtaine. On se faisait des journées shopping, un jour elle m’a même demandé de la conseiller pour la couleur d’un ensemble de lingerie qu’elle voulait s’acheter, ça m’a un peu chamboulée, ma fille n’était plus un bébé, c’était une femme. J’étais heureuse qu’elle ai un petit ami et qu’elle se montre féminine. Même si je ne posais pas de questions par pudeur. Je remarquais que ma fille devenait de plus en plus sexy, elle s’apprêtait systématiquement à la maison. Je sentais bien qu’il y avait un amoureux caché là-dessous. Lorsque je lui demandais où est-ce qu’elle allait, qui elle rejoignait elle restait très évasive, mais comme elle s’était toujours montrée honnête avec moi je lui faisais confiance, aveuglement confiance. Les mois passaient, sans vague, ma vie était magnifique, je remerciais Dieu chaque jour de m’avoir donné cette chance d’être à nouveau aimée, d’avoir une fille qui faisait ma fierté et que j’aimais plus que tout, d’être en bonne santé, d’avoir évolué dans mon travail et de ne manquer de rien. Suite à cette évolution, je passais un peu plus de temps au bureau je rentrais un peu plus tard j’étais parfois en déplacement, c’était le job. Assister un Grand Directeur demande présence et disponibilité. Mon conjoint était fier de moi et ça me donnait beaucoup de force. Lors d’un voyage, mon patron a dû rentrer plus tôt pour raisons familiales, je l’ai bien-sûr suivi. Je suis donc arrivé plus tôt à mon domicile et n’avait volontairement prévenu personne pour faire une surprise. Si j’avais pu me douter une seconde de ce que j’allais découvrir je n’aurai jamais ouvert ma porte, JAMAIS! J’ai poussé cette porte et découvert sur chaque parcelle du sol, de MON sol, les vêtements de ma fille et de mon homme, je ne comprenais pas ce qu’il se passait, mon coeur s’accélérait, je commençais à trembler, mes jambes commençaient à flageoler, j’ai poussé la porte de la chambre de ma fille et j’ai vu l’impensable, j’ai vu l’horreur, j’ai vu ce que le diable est capable de faire, ma fille et mon conjoint l’un sur l’autre, en plein acte. Il semblerait que je me sois évanouie. Je me suis réveillée à l’hôpital entourée de médecins et de celle que j’avais toujours appelé ma fille, celle à qui j’avais donné la vie. J’ai, comme me l’on expliqué les médecins, souffert de mutisme durant 5 mois, il m’a été impossible de sortir un mot. Pour tout avouer encore aujourd’hui je ne me souviens pas de grand-chose c’est grâce à ma meilleure amie que j’ai pu suivre le film de ma vie ces derniers mois, elle a tout géré pour moi, je suis actuellement encore en arrêt maladie, j’espère trouver la force de reprendre mon travail. Après ce que mon psy appelle mon choc émotionnel », je suis restée hospitalisée 3 mois, aujourd’hui je vis chez ma meilleure amie, je suis incapable de retourner chez moi. Lui a tenté à plusieurs reprises de rentrer en contact avec moi, mais je ne m’en sens pas capable, c’est encore trop tôt. Lorsque mon amie le contactait pour savoir ce qu’il s’était passé il a quand même mis plusieurs semaines avant de tout lui avouer, mais il l’a fait, il a avoué. Quand à ma fille c’est encore pire, je ne sais pas si je pourrais la regarder à nouveau dans les yeux. C’est ma chair, mon sang, celle pour qui j’ai tout sacrifié comme toute mère. Il parait qu’ils se seraient installé ensemble il y a un mois malgré leurs 20 ans d’écart. Je me sens humiliée, salie, trahie. J’ai mal au plus profond de moi. J’ai accepté d’en parler aujourd’hui, car mon psychologue m’a dit que c’était important. Je vais aussi voir le prêtre de mon église chaque semaine, car je sais que Dieu va m’aider. jV5tnlQ. 143 197 130 31 262 274 29 330 477

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