lesmarocains le peuple le plus intelligent du monde. 978 likes · 1 talking about this. Selon une lâĂ©tude dâune universitĂ© britannique, les marocains sont
DĂ©linquance, terrorisme, crise politique, homicides... pour des raisons de sĂ©curitĂ©, ces pays du monde entier sont fortement dĂ©conseillĂ©s aux touristes. Voici ceux qui figurent en tĂȘte des sondages...1/ Le Salvador Les habitants de ce petit pays, le plus petit d'AmĂ©rique centrale, vivent dans un climat d'insĂ©curitĂ© permanent. Salvador affiche d'ailleurs l'un des taux d'homicides les plus Ă©levĂ©s dans le monde 6650 en 2015. Gangs, trafics de drogue, violence incessante entre policiers et dĂ©linquants... tel est le quotidien de ses habitants, et les touristes sont invitĂ©s Ă ĂȘtre prudents aussi bien dans les zones touristiques que les transports en commun. 2/ Le Venezuela La plupart des sondages classent le Venezuela dans le top 3 des pays du monde les moins sĂ»rs pour les touristes, de moins en moins nombreux Ă rĂ©server un vol Paris â Caracas. Et c'est bien dommage car c'est un pays aux paysages riches et variĂ©s affichant une rare beautĂ©. Crise Ă©conomique et conflit politique associĂ©s Ă un taux de dĂ©linquance et de criminalitĂ© ultra Ă©levĂ© ainsi que des autoritĂ©s impuissantes ou corrompues, voilĂ ce qui explique un tel niveau d'insĂ©curitĂ© dans ce pays d'AmĂ©rique du Sud. Pas moins de 3946 meurtres y ont Ă©tĂ©s enregistrĂ©s en 2015, soit 11 par jour, des chiffres effrayants et rebutants. ville de caracas© humberto2806 / 123RF 3/ Le Liberia MĂȘme si le pays rĂ©duit au fil des annĂ©es son taux d'insĂ©curitĂ©, il est tout de mĂȘme dĂ©conseillĂ© de prendre un vol vers le LibĂ©ria. Sauf raison impĂ©rative, comme l'indique le site du MinistĂšre des Affaires EtrangĂšres, le pays d'Afrique de l'Ouest est Ă Ă©viter. Les habitants vivent constamment dans la peur dĂšs lors qu'ils mettent le nez dehors et il est par ailleurs dĂ©conseillĂ© aux femmes de se balader seules la nuit en dehors du centre-ville. 4/ Afrique du Sud Autre pays oĂč l'insĂ©curitĂ© rĂšgne l'Afrique du Sud. Bien que les zones touristiques soient relativement Ă©pargnĂ©es, ce qui a le mĂ©rite de rassurer les voyageurs fraĂźchement dĂ©barquĂ©s d'un vol vers l'Afrique du Sud, les locaux et les touristes sont confrontĂ©s Ă des violences en tout genre vols et agressions Ă l'arme Ă feu, viols, voitures pillĂ©es, meurtres... particuliĂšrement dans les quartiers pauvres et les quartiers immeubles de johannesburg© demerzel21 / 123RF 5/ Le Soudan du Sud Partir au Soudan du Sud est fortement dĂ©conseillĂ© aux voyageurs en raison d'un climat gĂ©nĂ©ral d'insĂ©curitĂ© et des conflits politiques permanents ayant conduit Ă une guerre civile. De multiples agressions violentes sont recensĂ©es, notamment dans la capitale Djouba ainsi que sur les axes routiers, ce qui en fait un pays dangereux, Ă Ă©viter dans la mesure du possible. 6/ La RĂ©publique Dominicaine MalgrĂ© ses paysages de cartes postales, la RĂ©publique Dominicaine, aussi Ă©tonnant que cela puisse paraĂźtre, fait partie des pays les plus dangereux du monde. Et pour cause un taux de dĂ©linquance Ă©levĂ©. Ă Saint Domingue, la capitale et dans les petits villages, les locaux ne sont pas rassurĂ©s face au nombre croissant d'agressions. Si vous prenez un vol Paris - Punta Cana vous vous rendrez compte que les militaires, policiers et mĂȘme les gardiens de banque sont armĂ©s partout oĂč vous irez. Si ce n'est que pour dissuader, cela reflĂšte tout de mĂȘme une insĂ©curitĂ© constante. 7/ La Bolivie Le trafic de stupĂ©fiants est monnaie courante en Bolivie et les habitants vivent sous tension. C'est l'une des raisons pour lesquelles ce pays d'AmĂ©rique du Sud figure sur la liste des pays Ă Ă©viter. Par ailleurs, de nombreuses attaques de chiens porteurs de la rage sont Ă©galement recensĂ©es depuis le dĂ©but de l'annĂ©e 2017. La prudence est donc de mise pour les voyageurs ayant dĂ©cidĂ© d'embarquer sur un vol vers la Bolivie, pour aller sillonner ses paysages grandioses Ă l'image du salar d'Ulyuni, ce dĂ©sert de sel unique au saleÌ Uyuni en Bolivie© xura / 123RF 8/ Le Gabon Lorsqu'on prend un vol vers le Gabon, c'est bien souvent pour visiter ses magnifiques parcs nationaux, cependant il faut faire preuve de vigilance dĂšs l'arrivĂ©e car le pays est enclin Ă une insĂ©curitĂ© permanente due Ă une crise sociopolitique. C'est ce qui explique sa prĂ©sence au sein de ce classement. 9/ La Mauritanie Si la Mauritanie se classe parmi les pays du monde les moins sĂ»rs, c'est en grande partie en raison de la menace terroriste qui pĂšse sur les pays d'Afrique de l'Ouest. Les risques d'infiltrations de terroristes notamment Ă la frontiĂšre avec le Mali sont Ă©levĂ©s laissant les habitants vivre dans l'insĂ©curitĂ© constante. L'Irak et la Syrie sont Ă©galement Ă Ă©viter pour ces raisons. 10/ L'Argentine La capitale Buenos Aires et les grandes villes d'Argentine sont elles aussi touchĂ©es par l'insĂ©curitĂ©. Aussi bien les quartiers pauvres que les zones rĂ©sidentielles et touristiques sont concernĂ©es, trafic de drogue et agressions de plus en plus violentes sont lĂ©gion. La violence routiĂšre est Ă©galement croissante dans le pays. La vigilance des touristes ayant prĂ©vu un vol vers l'Argentine est donc recommandĂ©e.Parceque le Cameroun est le seul pays au monde oĂč les gens qui disent la vĂ©ritĂ© peuvent se compter sur les doigts dâune seule main dâun lĂ©preux ou bien dâun manchot Les Camerounais inculquent la malhonnĂȘtetĂ© dĂšs leur
Le Premier ministre britannique Boris Johnson embarquant dans un avion Ă l'aĂ©roport de Stansted prĂšs de Londres, pour se rendre en Inde, le 20 avril 2022 Stansall Article AbonnĂ© "C'Ă©tait Ă©trange d'Ă©prouver si peu de joie le jour venu, compte tenu des centaines de milliers de mots et des centaines d'heures que j'avais consacrĂ©s Ă faire campagne pour le dĂ©part de Boris Johnson. Cela tient pour partie au fait que son discours de dĂ©mission Ă©tait une nĂ©buleuse de mensonges, de demi-vĂ©ritĂ©s, de fourberies, de fausses allĂ©gations et de manipulations qui sont sa marque de fabrique depuis qu'il est devenu d'abord un personnage mĂ©diatique, puis politique, c'est-Ă -dire depuis des dĂ©cennies. Il n'a mĂȘme pas pu se rĂ©soudre Ă prononcer le mot "dĂ©missionner", ni Ă s'excuser pour les nombreux mĂ©faits qui ont conduit son parti Ă se retourner contre lui. Il se "dĂ©sole" simplement de quitter un emploi qu'il adorait. Mais mon incapacitĂ© Ă savourer cet instant Ă©tait surtout liĂ©e au fait que, tandis qu'il se tenait debout Ă son pupitre, devant la cĂ©lĂšbre porte du 10, Downing Street, toute la satisfaction que je pouvais Ă©prouver Ă l'idĂ©e de le voir partir Ă©tait Ă©clipsĂ©e par l'Ă©coeurement de savoir qu'il avait pu un jour accĂ©der Ă ces fonctions. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1⏠sans engagement Suffisamment d'encre a dĂ©jĂ coulĂ© pour dĂ©crire les mensonges, les calomnies, les promesses fausses ou rompues, les histoires inventĂ©es de toutes piĂšces, les Ă©pouses trompĂ©es, les maĂźtresses et les enfants, les scandales financiers, les bĂ©vues Ă rĂ©pĂ©tition et l'incompĂ©tence de Boris Johnson. Mais, au moins, bientĂŽt - pas assez tĂŽt cependant, puisqu'il continue de "squatter" Downing Street [jusqu'Ă la dĂ©signation de son successeur, NDLR] - il partira, et nous n'aurons plus Ă passer autant de temps Ă penser au personnage ou Ă parler de lui. De grandes questions demeurent nĂ©anmoins quant aux Ă©cosystĂšmes politique et mĂ©diatique qui lui ont permis de se hisser aussi haut. L'homme qui disait n'importe quoi Quiconque le connaissait ou avait travaillĂ© avec lui savait que l'homme Ă©tait un menteur. Quiconque avait eu personnellement affaire Ă lui savait qu'il Ă©tait peu fiable et peu digne de confiance. Quiconque avait suivi sa carriĂšre de journaliste, de dĂ©putĂ© ou de maire de Londres savait qu'il Ă©tait peu sĂ©rieux, cossard, indiffĂ©rent Ă la fois aux tenants et aux aboutissants de la politique et Ă ses consĂ©quences. Pour Johnson, la politique, comme le journalisme, Ă©tait un jeu dont lui-mĂȘme fixait les rĂšgles, avec pour objectif sa propre ascension, les intĂ©rĂȘts du peuple et du pays arrivant loin derriĂšre les siens. Tout le monde, y compris ceux et celles qui feignent la surprise en voyant son mandat de Premier ministre se terminer en BĂ©rĂ©zina, savait tout cela. Les dĂ©putĂ©s qui ont votĂ© pour lui le savaient. Les ministres qui siĂ©geaient comme de gentils toutous Ă la table du Cabinet, riant Ă ses plaisanteries, fermant les yeux sur ses dĂ©fauts, rĂ©pĂ©tant docilement les mensonges ou les excuses qu'ils avaient pour consigne de seriner quand il se trouvait ballottĂ© de scandale en scandale, manoeuvrant pour Ă©touffer chaque affaire, le savaient aussi. Mais ils ont prĂ©fĂ©rĂ© faire l'autruche. Parce que, dans le jeu politique, ils voyaient en lui un winner. Bien sĂ»r, il est plus facile de gagner quand vous ĂȘtes prĂȘt Ă dire littĂ©ralement n'importe quoi - la vĂ©ritĂ© comme le mensonge - qui soit susceptible de faire progresser votre cause, et que vous ĂȘtes issu d'une culture mĂ©diatique qui place la vĂ©ritĂ© et les faits au second plan derriĂšre la force d'un sujet, et dans laquelle quantitĂ© de journaux cessent de demander des comptes aux puissants, prĂ©fĂ©rant aider Ă devenir plus puissants ceux qui, parmi ces derniers, portent leur vision du monde. Le Daily Mail, le Daily Express, le Sun et le Daily Telegraph ont parfois donnĂ© l'impression d'ĂȘtre le service de presse de Johnson plutĂŽt que des journaux cherchant Ă informer leurs lecteurs de l'Ă©tat du pays. Ils portent une grande responsabilitĂ© dans le malaise politique actuel - Ă tel point que, sous Johnson, le Royaume-Uni a fini par se ridiculiser sur la scĂšne internationale. Le "winner" devenu "loser"Au bout du compte, s'il est tombĂ© en disgrĂące, c'est pour la mauvaise foi dont il a fait preuve Ă plusieurs reprises au sujet d'un agresseur sexuel rĂ©cidiviste qu'il avait nommĂ© Ă un poste en vue. Mais, en vĂ©ritĂ©, il avait rĂ©chappĂ© Ă bien pire par le passĂ©. Ce n'est pas la dĂ©couverte soudaine de l'existence de principes moraux qui a fait changer d'avis les ministres et les dĂ©putĂ©s. C'est de s'ĂȘtre rendu compte, tout Ă coup, que Johnson n'Ă©tait plus un winner. Qu'il Ă©tait dĂ©sormais mĂ©prisĂ© par une bonne partie du pays. Qu'il Ă©tait un loser. Et que, s'il restait, il risquait de porter prĂ©judice au parti. Il restera dans les annales comme le Premier ministre le plus malhonnĂȘte, le plus corrompu, le plus incompĂ©tent, le plus dĂ©shonorĂ© de notre histoire, celui qui a causĂ© le plus de tort Ă notre Parlement, Ă notre Etat de droit, Ă nos mĂ©dias dont la BBC, Ă notre diplomatie et Ă notre place dans le monde, et au processus de paix en Irlande du Nord. Le fait que Joe Biden ne se soit mĂȘme pas rĂ©solu Ă citer son nom dans sa brĂšve rĂ©action Ă son discours de dĂ©mission donne une idĂ©e de l'Ă©tendue des dĂ©gĂąts infligĂ©s Ă notre relation privilĂ©giĂ©e avec les Etats-Unis. Pour ce qui est des alliances avec nos plus proches voisins d'outre-Manche - et notamment avec le prĂ©sident français, lassĂ© de ses mensonges et de ses clowneries depuis belle lurette -, elles ont autant souffert que les piĂšces dans lesquelles Johnson avait organisĂ© des fĂȘtes clandestines pendant la crise sanitaire - au point d'ailleurs que, de tout le pays, c'est le 10, Downing Street qui aura Ă©copĂ© des plus fortes amendes pour non-respect du confinement ! "Un menteur et un charlatan"Et pourtant, mĂȘme quand l'homme et ses singeries auront Ă©tĂ© relĂ©guĂ©s aux oubliettes depuis longtemps, il est probable que l'essentiel de son hĂ©ritage - le Brexit - restera en vigueur. Le fait que Johnson soit aujourd'hui considĂ©rĂ© par tous comme un menteur et un charlatan - qui avait fait usage des mĂȘmes basses manoeuvres pour dĂ©crocher la victoire au rĂ©fĂ©rendum voilĂ six ans - ne semble pas avoir modifiĂ© l'opinion d'une bonne partie de l'Ă©chiquier politique, qui juge impossible de revenir sur le Brexit. C'est lĂ la vraie tragĂ©die et la raison pour laquelle je me sentais incapable de cĂ©lĂ©brer son dĂ©part. Car l'ironie de l'histoire, c'est que le locataire le moins sĂ©rieux et le plus inconsistant que Downing Street ait jamais vu est responsable de ce qui est sans doute le plus grave et le plus profond changement dans notre pays depuis la Seconde Guerre mondiale. Il est donc parti, sans doute pour donner Ă travers le monde, en Ă©change d'une petite fortune, des confĂ©rences Ă des hommes d'affaires qui riront Ă ses bons mots, et pour Ă©crire des mĂ©moires aussi vĂ©ridiques que des fake news sur le grand homme d'Etat qu'il fut. Il part couvert de honte et de disgrĂące, et cela ne lui fera ni chaud ni froid, puisqu'il ne connaĂźt pas la honte. Mais la dĂ©solante piĂšce maĂźtresse de son hĂ©ritage restera, elle, et il faudra plus qu'un changement de Premier ministre pour y remĂ©dier ou pour rĂ©parer les dĂ©gĂąts infligĂ©s Ă notre politique par un sociopathe narcissique qui, malheureusement, a eu plus de mille jours devant lui pour semer la dĂ©solation dans le pays." Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris VallĂ©eLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux
Aucentre du conflit entre sa FĂ©dĂ©ration et les provinces galloises, le capitaine de la sĂ©lection, Sam Warburton, pourrait se retrouver sans club cette saison.MalgrĂ© une atmosphĂšre nationale trĂšs sombre, 37 % des gens aux Ătats-Unis dĂ©clarent vivre dans le meilleur pays de la planĂšte, rapporte The Guardian. PubliĂ© le 09 mai 2019 Ă 15h11 âPlus de 40 % des AmĂ©ricains nâapprĂ©cient pas du toutâ le prĂ©sident, 70 % jugent leurs Ă©lus malhonnĂȘtesâ et 64 % pensent que les Ătats-Unis sont divisĂ©s entre les gens ordinaires et les Ă©lites corrompues qui les exploitentâ. Et pourtant, ils ont beau avoir le sentiment quâil y a quelque chose de pourri dans leur pays, les AmĂ©ricains ont cette particularitĂ© de garder une foi inĂ©branlable dans leur mythe national.â Comme le souligne le journal britannique The Guardian, les rĂ©sultats de lâĂ©tude YouGov-Cambridge Globalism Project peuvent surprendre. Car les AmĂ©ricains sont en proportion les plus nombreux Ă dĂ©clarer quâils vivent dans âle meilleur pays du mondeâ. âLâexceptionnalisme amĂ©ricain est bien vivantâ, constate le quotidien, partenaire de cette nouvelle Ă©tude annuelle, conduite dans 23 grands pays auprĂšs de plus de 25 000 personnes. Seuls 6 % des Français affirment que leur pays est le meilleur du monde â Ă peine plus quâen Allemagne, le pays oĂč ce chiffre est le plus bas, Ă 5 %. Les Australiens et les Canadiens sont bien plus enclins Ă penser vivre dans le meilleur pays du monde, comme le disent respectivement 29 % et 28 % des interrogĂ©s. En Chine aussi, la proportion monte Ă 29 %. Ce sont bien toutefois les Ătats-Unis qui ont le record en la matiĂšre 37 % des interrogĂ©s dĂ©clarent que leur pays est le meilleur. Source de lâarticle The Guardian LondresLâindĂ©pendance et la qualitĂ© caractĂ©risent ce titre nĂ© en 1821, qui compte dans ses rangs certains des chroniqueurs les plus respectĂ©s du pays. The Guardian est le journal de rĂ©fĂ©rence de lâintelligentsia, des enseignants et des syndicalistes. OrientĂ© au centre gauche, il se montre trĂšs critique vis-Ă -vis du gouvernement conservateur. Contrairement aux autres quotidiens de rĂ©fĂ©rence britanniques, le journal a fait le choix dâun site en accĂšs libre, quâil partage avec son Ă©dition dominicale, The Observer. Les deux titres de presse sont passĂ©s au format tabloĂŻd en 2018. Cette dĂ©cision sâinscrivait dans une logique de rĂ©duction des coĂ»ts, alors que The Guardian perdait de lâargent sans cesse depuis vingt ans. Une stratĂ©gie payante en mai 2019, la directrice de la rĂ©daction, Katharine Viner, a annoncĂ© que le journal Ă©tait bĂ©nĂ©ficiaire, une premiĂšre depuis 1998. Lire la suite Nos services atP9. 214 54 461 81 310 230 477 211 289