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Accueil» Mes tenues » Comment faire lâamour entre homme ? Comment faire lâamour entre homme ? Ravie de pouvoir porter des lentilles. Bien dĂ©buter en blackjack en ligne. EntrĂ©e dans la location de maison. Sejour linguistique ado :
Les diffĂ©rents visages de lâamour selon la Bible Paul WELLS* Vous voulez donc que je vous dise pourquoi et comment on doit aimer Dieu? Je rĂ©ponds briĂšvement la raison pour laquelle on aime Dieu, câest Dieu lui-mĂȘme; et la mesure de cet amour, câest de lâaimer sans mesure. »1 Pour aimer, il faut ĂȘtre deux, mĂȘme si sâaimer soi-mĂȘme est Ă©galement nĂ©cessaire. Lâamour doit ĂȘtre don et ne pas se complaire dans lâĂ©goĂŻsme, voire le narcissisme. Aimer Dieu, aimer son prochain â nos deux vis-Ă -vis â tels sont les deux commandements qui sont semblables Mc Dieu est amour et, pour cette raison, lâamour pour la crĂ©ature est Ă la fois un don, un commandement et un devoir. La crĂ©ation entiĂšre, animĂ©e ou inanimĂ©e, pensante ou non, nâest quâune Ă©manation amoureuse, et procĂ©dant ainsi de Dieu elle y demeure suspendue comme le rayon Ă son soleil; elle en reproduit lâĂ©clat plus ou moins; elle y puise sa chaleur et la communique; elle y trouve toute sa consistance. »2 Selon la confession chrĂ©tienne, Dieu est trois, non pas un ou deux! Câest lĂ un problĂšme » sur lequel beaucoup butent. Quelle est la solution? La doctrine de la TrinitĂ© â qui sâaccorde parfaitement avec lâaffirmation quâil y a un seul Dieu â est une forme de monothĂ©isme diversifiĂ©; en effet, Dieu est Ă la fois Un et Trois, PĂšre, Fils et Saint-Esprit. Car lâunicitĂ© de Dieu nâest pas solitude. Câest lĂ un point capital qui distingue le christianisme des autres monothĂ©ismes3. Le Saint-Esprit, celui qui procĂšde du PĂšre et du Fils, est lâexpression de lâamour en Dieu et de Dieu. Augustin lâavait dĂ©jĂ compris. La charitĂ© nâest ni un titre, ni une propriĂ©tĂ©, ni une perfection de Dieu. Elle est la substance de Dieu. »4Des trois personnes trinitaires, lâEsprit exprime lâamour qui unit le PĂšre et le Fils. Le Saint-Esprit procĂšde du PĂšre et du Fils, mais cette procession est le fruit Ă©ternel de lâinfini amour dont brĂ»lent lâUne pour lâAutre les deux personnes. »5LâEsprit aussi est celui qui manifeste lâamour de Dieu en dehors de lui-mĂȘme, Ă savoir dans la crĂ©ation et par la rĂ©demption6. Incréé en Dieu, lâamour est créé en nous » par lâEsprit qui est don de Dieu7. Cette rĂ©alitĂ© est fondamentale, y compris pour lâamour humain, entre deux personnes. La non-solitude de Dieu est la structure communautaire de lâhumanitĂ©. »8Car lâamour ne se limite pas Ă la relation entre deux personnes, mais dĂ©borde celle-ci, va au-delĂ du cercle fermĂ© ainsi constituĂ©. Câest ainsi que, lors de la crĂ©ation de lâĂȘtre humain â créé homme et femme -, il y a dĂ©jĂ la prĂ©sence dâun troisiĂšme Dieu lui-mĂȘme. Dâune façon particuliĂšre, câest la femme qui reprĂ©sente le mieux lâhumanitĂ© dans le rapport avec Dieu. Vis-Ă -vis du Seigneur, tout ĂȘtre humain doit accepter, mĂąle ou femelle, une situation fĂ©minine ĂȘtre de lui et pour lui, recevoir et porter la semence de sa parole, recevoir et porter le nom quâil donne; les trois choses qui demeurent, la foi, lâespĂ©rance et lâamour, nâont-elles pas comme un parfum fĂ©minin? »9 A lâorigine de la crĂ©ation, il y a donc trois personnes, reflet de la TrinitĂ© divine lâhomme, la femme et le CrĂ©ateur. Le fondement de tout amour rĂ©side dans la notion dâidentitĂ© personnelle. La femme nâest pas une autre, mais une proche, un vis-Ă -vis. Dans la GenĂšse, la transcendance ne fait pas de Dieu lâAutre, le Moteur immobile, lâUn ou lâEtre suprĂȘme. Dieu est le vis-Ă -vis ultime comme CrĂ©ateur. Vis-Ă -vis » veut dire ĂȘtre avec ». Les amants ne fixent pas lâhorizon, comme le font des compagnons de voyage; ils se regardent dans les yeux. Lâamour est un regard. La faiblesse des thĂ©ologies modernes horizontales rĂ©side lĂ elles ne peuvent regarder que la situation et sont incapables de lever les yeux vers Dieu. Ce serait faire un grave contresens, dit J. Brun, que dâidentifier lâamour chrĂ©tien Ă une sorte de sympathie ou Ă quelque altruisme⊠des humanismes Ă la Feuerbach pour lesquels, puisquâil nây a pas dâautre Dieu pour lâhomme que lâhomme lui-mĂȘme, la solidaritĂ© constitue le fondement dâune Ă©thique sociale rationnelle. »10 Lâamour de Dieu et lâamour du prochain sont les deux Ă©lĂ©ments complĂ©mentaires du grand commandement; lâamour de lâautre devient amour pour Dieu. Ceci dĂ©coule de la structure biblique de lâalliance. Lâalliance entre Dieu et lâhomme nâest pas une rĂ©alitĂ© ajoutĂ©e Ă la crĂ©ation de lâamour, mais son fondement mĂȘme. Lâamour, dans son sens profond, ne peut pas exister sans une alliance qui implique non pas un amour en circuit fermĂ©, un aller et retour dans lâamour, mais son expression Ă lâextĂ©rieur envers dâautres dans une vie commune. Câest, peut-ĂȘtre, pour cette raison que lâAncien Testament est incomplet dans son expression de lâamour, car celle-ci nây est que binaire â entre Dieu et son peuple. Dans le Vieux Testament, il est peu question de lâamour de Dieu en comparaison avec le Nouveau11. En effet, lorsque Christ vient et donne son Esprit, lâamour de Dieu devient missionnaire. Car Dieu est trinitaire, et lâEsprit constitue le lien de lâamour et sa possibilitĂ© dâexpressions extĂ©rieures. Ce principe est Ă©noncĂ© par lâEvangile â lâEsprit nâĂ©tait pas encore donnĂ©, parce que JĂ©sus nâavait pas encore Ă©tĂ© glorifiĂ© Jn Dans le cadre du christianisme, lâamour qui implique deux doit toujours aller vers lâextĂ©rieur, vers Dieu et vers les prochains. Il devient communautaire. Avec cet aspect communautaire, lâamour se diversifie et revĂȘt de multiples formes. Dans la Bible, comme dans la vie humaine, il existe quatre formes dâamour, comme le pense Lewis, et non pas une seule lâaffection, lâamitiĂ©, lâeros et lâagape. Lewis ne voit pas de hiĂ©rarchie entre les quatre, mais une diversitĂ© dans la communautĂ© humaine. Pour chaque type dâamour, il y a le meilleur et le pire. Lewis cite Denis de Rougemont Lâamour cesse dâĂȘtre un dĂ©mon seulement quand il cesse dâĂȘtre un dieu. » Ceci est vrai surtout si lâamour correspond Ă un besoin et non Ă un don. Par exemple, lâeros peut atteindre au sublime dans lâintimitĂ© dâun couple ou devenir obsessionnel jusquâĂ la violence. Cependant, Lewis affirme que tout amour-besoin nâest pas nĂ©gatif; certains sont sains, le besoin dâaffection parentale, par exemple. Câest lâobsession qui peut rendre lâamour malsain. MĂȘme lâagape, lâamour inconditionnel comme don, peut dĂ©vier et devenir perversitĂ© si un croyant pense devoir, par exemple, tuer pour apaiser son dieu ou lui plaire dans un sacrifice humain ou un acte terroriste. Le Dieu de la Bible ne demande pas de telles choses12. Dans ce qui suit, nous Ă©cartons les perversions de lâamour dans ces sens variĂ©s, et nous traiterons surtout de la question de lâamour de Dieu dans lâEcriture et la rĂ©ponse de lâhomme. Si la rĂ©vĂ©lation Ă©voque, de façons trĂšs diverses, les amours humains sous toutes les couleurs, Ă©tant alliance entre Dieu et lâhomme, elle exprime principalement lâamour du CrĂ©ateur pour la crĂ©ature. Lâamour de Dieu et lâamour pour Dieu ne se placent pas sur le terrain de lâĂ©quivalence, mĂȘme sâil y a rĂ©ciprocitĂ© entre eux, parce que Dieu nâa pas besoin de lâhomme, alors que lâhomme a besoin de Dieu et cela de maniĂšre diversifiĂ©e. Sâil nâen Ă©tait pas ainsi, comme Kierkegaard lâa bien vu, lâhomme nâĂ©prouverait jamais dâangoisse, une antipathie sympathique et une sympathie antipathique », ou de culpabilitĂ©, face Ă la rĂ©alitĂ© ultime. La honte et le dĂ©sir de se cacher Ă©prouvĂ©s par le premier couple en fournit une illustration adĂ©quate13. Dieu nâa pas besoin de notre amour car, dans la communautĂ© trinitaire, lâamour est dĂ©jĂ parfait comme don et comme communion de joie. Puisque Dieu est ainsi parfait et sans aucun manque ni mesure, son amour pour les crĂ©atures en dehors de lui-mĂȘme ne peut se caractĂ©riser que par la libertĂ© et la gratuitĂ©. Cela, K. Barth lâa bien cernĂ© dans sa discussion des attributs de Dieu, oĂč il parle Ă la fois des perfections de lâamour et de la libertĂ© de Dieu14. Du cĂŽtĂ© de la crĂ©ature, en revanche, le besoin dâaimer Dieu est rĂ©el, non seulement pour ce quâil peut donner pour nous combler, mais pour ce quâil est en lui-mĂȘme. Câest pourquoi J. Edwards, dans son cĂ©lĂšbre traitĂ© La charitĂ© et ses fruits, affirme au dĂ©but que le vĂ©ritable amour pour Dieu Ă©prouvĂ© par la crĂ©ature est lâamour de ce quâil est, avant dâĂȘtre apprĂ©ciation de ce quâil fait15. Le reflet affaibli de cette rĂ©alitĂ© se rencontre au niveau humain, lorsque nous aimons une personne simplement pour ce quâelle est en elle-mĂȘme, de façon dĂ©sintĂ©ressĂ©e. Mais comment lâamour sâexprime-t-il? Lâamour de Dieu est absolu. La nature des actions de Dieu ne peut pas ĂȘtre contestĂ©e par ses crĂ©atures; Dieu est bon » constitue un prĂ©supposĂ© inutile de demander Ă Dieu des preuves pour le croire. Toute lâEcriture est une thĂ©odicĂ©e, qui manifeste lâamour et la justice de Dieu16. Comment affirmer que Dieu est juste et bon, lorsque ses actions semblent dĂ©montrer le contraire? La thĂ©odicĂ©e biblique affirme que lâamour de Dieu est a priori et nâa pas Ă ĂȘtre remis en question par les crĂ©atures, mĂȘme si les apparences le contredisent. Lâamour de Dieu est toujours juste, fidĂšle et bon, quoi que nous puissions en penser. En GenĂšse 3, le grand menteur essaie de mettre en conflit lâune avec lâautre la bontĂ© et la justice de Dieu. Quand Dieu apparaĂźt, il nâessaie pas dâexpliquer pourquoi lâargument du diable est faux; il manifeste son autoritĂ© de Seigneur. Dieu nâa pas besoin, en effet, de donner des preuves de sa bontĂ©. Le juge de la terre nâexercera-t-il pas la justice? » Gn â question rhĂ©torique, car Dieu est fidĂšle Ă sa promesse. En lisant GenĂšse 22, il est cependant permis de sâinterroger Comment un Dieu bon peut-il demander le sacrifice dâun fils? » Cette question ne vient mĂȘme pas Ă lâesprit de lâauteur biblique. Le dĂ©fi concerne la rĂ©ponse de lâhomme. La bontĂ© de Dieu est a priori. En Exode le nom de Dieu rĂ©vĂšle sa bontĂ©, que manifeste sa souverainetĂ© rĂ©demptrice â Je ferai passer devant ta face toute ma bontĂ© et je proclamerai devant toi le nom de lâEternel Je fais grĂące Ă qui je fais grĂące et jâai compassion de qui jâai compassion. » Job ne saura jamais pourquoi il est affligĂ© malgrĂ© son dĂ©sir de le savoir. Dieu apparaĂźt Ă Job et lui pose des questions Et Job reconnaĂźt la souverainetĂ© de Dieu et se repent! Dieu ne fournit pas dâexplications. Son amour et sa justice sont a priori. Certains passages bibliques dĂ©veloppent lâidĂ©e du droit absolu de Dieu par rapport Ă ses crĂ©atures Es Mt Dans lâenseignement de Paul sur la justification, Dieu est juste en justifiant les pĂ©cheurs Rm ce qui est la dĂ©monstration admirable de son amour A peine mourrait-on pour un juste; quelquâun aurait le courage peut-ĂȘtre de mourir pour un homme qui est bon. Mais en ceci Dieu prouve son amour envers nous lorsque nous Ă©tions encore pĂ©cheurs, Christ est mort pour nous. » Rm Les arguments sont a priori la justice et la bontĂ© divines sont desprĂ©supposĂ©s bibliques et la crĂ©ature est formĂ©e de telle maniĂšre quâelle doit les prĂ©supposer et ne pas douter de Dieu Dt J. Frame dit que la bontĂ© divine est un concept biblique trĂšs vaste, et que lâamour, focalisĂ© de façon plus prĂ©cise sur la grĂące, est donc plus riche sur le plan thĂ©ologique17. Lâamour de Dieu est bontĂ©, mais la bontĂ© de Dieu est plus vaste que son amour. LâEcriture offre plusieurs expressions de cette bontĂ© divine. 1. Lâamour de Dieu a La bienveillance est la bontĂ© de Dieu manifestĂ©e dans tous ses bienfaits. Si Dieu seul est bon Mc et sâil est un torrent de dĂ©lices Ps cette bontĂ© prend la forme dâune bienveillance envers tous Ps 14-17 la pluie et le beau temps, le printemps et la rĂ©colte, sans considĂ©ration de personne. JĂ©sus lâaffirme dans le Sermon sur la montagne Le PĂšre cĂ©leste fait lever son soleil sur les mĂ©chants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. » Mt Cette grĂące commune » de Dieu ne suppose pas la capacitĂ© des hommes Ă en ĂȘtre reconnaissants; seuls ceux qui en sont conscients savent remercier le Seigneur. b Dans sa compassion, Dieu montre quâil aime le pĂ©cheur, malgrĂ© son pĂ©chĂ© et, peut-ĂȘtre mĂȘme, Ă cause de lui. La compassion de Dieu se concrĂ©tise dans la misĂ©ricorde ou la pitiĂ© que Dieu Ă©prouve envers ceux qui souffrent sous le poids de leurs fardeaux. Dieu regarde ceux qui ploient sous les consĂ©quences du pĂ©chĂ©, de leur injustice ou de celle des autres. Quels que soient leurs actes, il a compassion dâeux. Le TrĂšs-Haut, dit JĂ©sus, est bon pour les ingrats et pour les mĂ©chants » Lc Le contexte de cette affirmation Ă©tonnante indique quâainsi Dieu est misĂ©ricordieux. Dieu, dans sa pitiĂ©, est toujours prĂȘt Ă soulager la dĂ©tresse de ceux qui se tournent vers lui et implorent son aide. La misĂ©ricorde de Dieu, sa compassion pour ceux qui souffrent est lâantichambre de la grĂące de Dieu. Comme le dit Dabney Toute misĂ©ricorde de Dieu est grĂące, mais toute grĂące nâest pas misĂ©ricorde. »18 c La grĂące de Dieu fait pendant Ă la culpabilitĂ© de lâhomme comme la misĂ©ricorde Ă sa souffrance. La grĂące de Dieu est lâexpression de sa bontĂ© envers ceux qui sont indignes. On ne fait pas grĂące aux vainqueurs, mais aux perdants! Telle est la bontĂ© de Dieu envers ceux qui ont perdu ou ont renoncĂ© au droit dâĂȘtre aimĂ©s et qui, par leur nature et par leurs actes, sont sous la condamnation et le jugement. Le pĂšre du fils prodigue est lâexemple biblique le mieux connu et Ă juste titre, Ă©tant donnĂ© le comportement du fils! Lc La grĂące est la dĂ©livrance quâaccorde la bontĂ© immĂ©ritĂ©e de Dieu. Elle est la source de bĂ©nĂ©dictions spirituelles confĂ©rĂ©es Ă des pĂ©cheurs. EphĂ©siens 2 montre comment la misĂ©ricorde de Dieu dĂ©bouche sur sa grĂące Dieu est riche en misĂ©ricorde et, Ă cause du grand amour dont il nous a aimĂ©s, nous qui Ă©tions morts par nos fautes, il nous a rendus Ă la vie avec le Christ â câest par grĂące que vous ĂȘtes sauvĂ©s⊠afin de montrer dans les siĂšcles Ă venir la richesse surabondante de sa grĂące par sa bontĂ© envers nous en Christ-JĂ©sus. » Ep MisĂ©ricorde, amour, grĂące et bontĂ©, tels sont les Ă©chelons de lâĆuvre de Dieu comme Sauveur. La grĂące est la source, lâaccomplissement et lâapplication de tout ce quâest Dieu comme Sauveur. d Lâamour de Dieu. L. Berkhof le dĂ©finit comme la perfection par laquelle Dieu est Ă©ternellement mĂ» vers lâautocommunication »19. Dieu est amour il a le dĂ©sir de communiquer la saintetĂ© de sa personne et le plaisir que lui causent ceux qui reflĂštent sa gloire selon les qualitĂ©s Ă©thiques de son image, créée et restaurĂ©e en Christ dans la justice, la saintetĂ© et lâamour de la vĂ©ritĂ© » Ep Col La profondeur de cet amour se dĂ©voile dans sa particularitĂ©. Dieu aime ses enfants dâun amour spĂ©cial et inaltĂ©rable et se plaĂźt Ă les bĂ©nir de ses dons et de ses grĂąces. Le PĂšre lui-mĂȘme vous aime, dit JĂ©sus Ă ses disciples, parce que vous mâavez aimĂ©, et que vous avez cru que je suis sorti dâauprĂšs de Dieu. » Jn Lâamour de Dieu dans le salut appelle une rĂ©ponse de reconnaissance Voyez quel amour le PĂšre nous a donnĂ©, puisque nous sommes appelĂ©s enfants de Dieu! Et nous le sommes. » 1 Jn Lâamour de Dieu est rĂ©vĂ©lĂ© dans lâacte par lequel il dĂ©clare que certains ĂȘtres humains sont ses enfants par son Fils, JĂ©sus-Christ. Ces personnes sont objet de son amour pour des raisons sotĂ©riques. Comme tous les autres ĂȘtres humains, elles bĂ©nĂ©ficient de la bienveillance et de la misĂ©ricorde de Dieu, mais elles sont lâobjet de sa grĂące rĂ©demptrice suite Ă une concentration de son amour. Packer indique Ă ce sujet un paradoxe. Dieu est amour » est toute la vĂ©ritĂ© Ă son sujet et, en mĂȘme temps, pas entiĂšrement, puisque lâamour de Dieu est saint et exigeant. Cependant, pour le croyant, poursuit Packer, Dieu est amour » est la vĂ©ritĂ© complĂšte Ă son sujet, car il rĂ©vĂšle son cĆur dans une relation dâalliance Lâamour de Dieu est rĂ©pandu en nos cĆurs par lâEsprit qui nous a Ă©tĂ© donnĂ©. » Rm Lâamour de Dieu en Christ nâest pas supĂ©rieur aux autres formes de bontĂ© de Dieu, mais une forme de cette bontĂ© manifestĂ©e dans sa personne; celui-ci est le fondement dâune relation de reconnaissance vis-Ă -vis de Dieu qui est Ă son origine. Dans lâalliance de grĂące, il y a, de façon conjointe, le don de lâamour de Dieu et la rĂ©ponse aimante de ses enfants. Que dire de lâamour envers Dieu, concrĂ©tisĂ© dans la vie de ceux qui cherchent Ă confesser son nom glorieux? Il est clair que cet amour nâest jamais quâun pĂąle reflet de celui qui est sa source. Notre amour nâest jamais que faible, chancelant, enclin, comme le dit si bien Lewis, Ă faire place au pire aprĂšs avoir aspirĂ© au meilleur. Cela sâexplique, comme le remarque Packer, par la diffĂ©rence qui existe entre Dieu et nous. Dieu est Esprit et nâa pas de passions ou dâĂ©motions qui, comme les nĂŽtres, seraient capables de nuire Ă sa saintetĂ©, sa fidĂ©litĂ©, sa justice et son amour. A la diffĂ©rence, nous sommes faits de façon complexe, avec un corps qui porte les marques de la chute jusquâĂ son dernier jour21. Cela suffit Ă dĂ©courager de faire de lâamour lâ idĂ©ologie » du christianisme, le juge de toutes les doctrines et de toutes les actions. Le discours permanent sur lâamour frĂŽle trop souvent le pire, en cachant une multitude de pĂ©chĂ©s, dont le plus sĂ©rieux est lâhypocrisie. Comment, alors, parler de lâamour du prochain droitement? La rĂ©ponse Ă cette question se trouve dans une rĂ©flexion biblique sur la restauration en nous de lâimage de Dieu en Christ, ce qui nous permet de reproduire Ă notre niveau, humain et faillible, un reflet faible mais authentique des caractĂšres de la bontĂ© de Dieu. 2. Lâamour du chrĂ©tien a Lâamour chrĂ©tien est, dâabord,bienveillance. Si Dieu seul est bon, nous ne sommes pas, pour autant, dispensĂ©s de rechercher le bien de nos prochains. Cette bienveillance nâa rien Ă voir avec la tolĂ©rance molle qui, au nom du respect de lâautre, accepte, reconnaĂźt comme valides tous les comportements. Un aspect de cette bienveillance est la tentative de dire la vĂ©ritĂ© avec amour » Ep A cet Ă©gard, il est utile de se rappeler que si nous ne sommes pas appelĂ©s Ă juger les autres, nous devons avoir une opinion sur leurs types de comportement ou dâattitude. Ne pas juger » signifie ne pas condamner, ne pas appliquer la sentence. Ne jugez pas, car dans la mesure ou vous jugez les autres vous serez vous-mĂȘmes jugĂ©s. » Mt Juger a, ici, le sens de condamner. Lâultime cour dâappel est Dieu et non pas notre jugement. Nous sommes, en revanche, appelĂ©s Ă discerner les esprits. Partout dans le Nouveau Testament, le chrĂ©tien est exhortĂ© Ă discerner entre le bien et le mal, Ă faire le tri et Ă retenir ce qui est bon 1 Th Le discernement nâexclut pas la bienveillance, mais la recherche du bien de lâautre va, Ă la fois, stimuler la modĂ©ration dans le discernement et tempĂ©rer nos dĂ©cisions. b La compassion et la misĂ©ricorde ne sont pas les mots que les spĂ©cialistes des soins » apprĂ©cient vraiment! La pitiĂ© encore moins! Ces termes traduisent une attitude de supĂ©rioritĂ©, voire de mĂ©pris. Mais que dit JĂ©sus Ă ce sujet en Luc Si nous aimons ceux qui nous aiment et prĂȘtons Ă ceux qui nous prĂȘtent en attendant la rĂ©ciproque en quoi ĂȘtre croyants nous profite-t-il? MĂȘme les paĂŻens font cela, dit JĂ©sus. La compassion dont parle lâEvangile est une gĂ©nĂ©rositĂ© sans attente de rĂ©ciprocitĂ©22. Et JĂ©sus ajoute Mais aimez vos ennemis, faites du bien et prĂȘtez sans rien espĂ©rer. Votre rĂ©compense sera trĂšs grande et vous serez fils du TrĂšs-Haut⊠Soyez misĂ©ricordieux, comme votre PĂšre est misĂ©ricordieux. » La rĂ©compense est simplement la satisfaction dâĂȘtre, vraiment, un enfant du PĂšre en cherchant Ă faire comme le PĂšre fait. Dieu nâest pas aveugle en faisant du bien Ă ses ennemis, et nous nâavons pas Ă nous comporter autrement23. A la modĂ©ration, cherchons donc Ă adjoindre la gĂ©nĂ©rositĂ©, mĂȘme envers nos ennemis, lesquels peuvent ĂȘtre parmi nos proches dans notre famille, notre travail ou notre communautĂ© ecclĂ©siale. Pouvoir ĂȘtre misĂ©ricordieux, dit Kierkegaard, est dâune perfection plus grande que la facultĂ© de faire quelque chose. »24 c La grĂące de Dieu peut sâincarner en nous comme elle sâest incarnĂ©e, de façon unique, une fois pour toutes, en Christ. La grĂące exprime le pardon des pĂ©chĂ©s de la part de Dieu et nous sommes appelĂ©s aussi Ă accorder notre pardon Ă ceux qui ont mal agi envers nous. La parole de JĂ©sus Ă ce sujet, le seul commentaire quâil ait fait sur le contenu du Notre PĂšre, est limpide, mais impressionnante Si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre PĂšre cĂ©leste vous pardonnera aussi, mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre PĂšre ne vous pardonnera pas non plus vos fautes. » Mt Comme Lloyd-Jones lâindique dans son commentaire, il ne faut certes pas prendre cette parole dans le sens dâune condition â si vous⊠je⊠» â car le pardon de Dieu nâest jamais conditionnĂ© par nos Ćuvres. Il sâagit dâune consĂ©quence. Si la grĂące du pardon divin Ă©claire notre vie, elle nous apporte la possibilitĂ© de pardonner. En pensant Ă la grĂące que Dieu nous a faite, nous ne manquerons pas de motivation pour accueillir les autres25. d Lâamour en tant que tel. Est-il possible dâexpĂ©rimenter lâamour du prochain dans sa plĂ©nitude? Sans doute, non. Que faut-il donc entendre par amour du prochain, dans le concret? 1 Jean 3, qui parle si bien de lâamour de Dieu, nous tend une perche Quiconque ne pratique pas la justice nâest pas de Dieu, non plus que celui qui nâaime pas son frĂšre. » 1Jn Et Quiconque croit que JĂ©sus est le Christ est nĂ© de Dieu, et quiconque aime celui qui lâa engendrĂ© aime aussi celui qui est nĂ© de lui. » 1 Jn Câest ainsi que nos attitudes envers notre frĂšre » rendent sensible lâamour de Dieu pour ses crĂ©atures; il arrive parfois quâon manque, entre chrĂ©tiens, dâĂ©gards, parce quâon est entre frĂšres ». Des attitudes contraires Ă la justice se dĂ©veloppent, quâon nâobserve mĂȘme pas dans le monde!27 La parole de Jean invite Ă aller dans lâautre sens, Ă ĂȘtre plus justes, plus stricts dans nos pensĂ©es, nos attitudes, nos paroles et nos actes. Plus dâamour et plus de justice, parce que nous sommes entre frĂšres », devrait ĂȘtre un mot dâordre. Et cela, en commençant par les rapports avec les plus proches. Ce nâest pas par hasard si Paul se rĂ©fĂšre, en EphĂ©siens 5, au modĂšle de Christ et Ă son don Ă lâEglise en parlant du comportement conjugal. Lâexigence de lâamour nous presse et nous interpelle quel est le but de notre vie? Nâest-ce pas aimer Dieu et notre prochain comme nous-mĂȘmes? J. Brun montre la diffĂ©rence radicale entre lâamour paĂŻen et lâamour chrĂ©tien La conception paĂŻenne de lâamour fait de celui-ci une voie ascendante qui mĂšne lâhomme vers le divin et vers lâabsolu. Cet amour, nĂ© en nous et de nous, se dĂ©ploie comme un dĂ©sir de conquĂȘte et de possession; attirĂ© par le beau, il est la manifestation dâune force universelle, qui Ă la limite sâaime elle-mĂȘme. Lâamour chrĂ©tien, au contraire, est un amour sans motif explicite, il nâest pas attirĂ© par ce qui est dĂ©jĂ lĂ ni par lâimage dâun modĂšle idĂ©al. Amour gratuit, il prend pour objet ce qui nâa aucune valeur et lui en donne une; il confĂšre de la valeur Ă qui il sâadresse⊠retrouve dans le prochain lâimage du sacrĂ© dont ce prochain et cet amour sont eux-mĂȘmes issus. Car lâamour chrĂ©tien ne provient pas de lâhomme, il vient de Dieu qui a parcouru la voie dâamour qui descend jusquâĂ lâhomme⊠Lâamour selon lâEsprit est venu de plus haut que nous-mĂȘmes, il ne sâadresse pas Ă un objet charmeur mais Ă un pĂ©cheur, câest la raison pour laquelle il sĂšme avec espoir, alors mĂȘme que cet espoir ne paraĂźt pas fondĂ©. »28 A la bienveillance, la compassion, la grĂące et lâamour de Dieu correspondent par les humains, dans la vie de lâalliance de grĂące, la modĂ©ration, la gĂ©nĂ©rositĂ©, le pardon et le don. Lâamour ne cherche pas son intĂ©rĂȘt » 1 Co il est lâexpression la plus Ă©levĂ©e, dĂšs lors quâil nous pousse Ă lâoubli de nous-mĂȘmes. Notre souci ultime est le prochain et, avant tout, Dieu lui-mĂȘme. Comme le dit Bernard de Clairvaux Je tâaimerai Seigneur, toi qui est ma force, mon appui, mon refuge, mon libĂ©rateur et tout ce qui peut se dire de dĂ©sirable et dâadorable. Mon Dieu, mon secours, je tâaimerai pour tes dons, et Ă ma mesure, qui sera certes bien au-dessous de la juste mesure, mais non pas infĂ©rieure Ă mon pouvoir dâaimer. Car bien que je ne puisse donner autant que je dois, je ne saurai aller au-delĂ de mon pouvoir. Sans doute serai-je capable dâaimer davantage lorsque tu daigneras mâapporter plus dâamour, et pourtant je ne tâaimerai jamais Ă proportion de ce que tu mĂ©rites. Tes yeux ont vu mon imperfection, mais dans ton livre seront inscrits ceux qui font tout ce quâils peuvent, mĂȘme sâils ne peuvent faire tout ce quâils doivent. »29 * P. Wells est professeur de thĂ©ologie systĂ©matique Ă la FacultĂ© libre de thĂ©ologie rĂ©formĂ©e dâAix-en-Provence et Ă©diteur de La Revue rĂ©formĂ©e. 1Bernard de Clairvaux, TraitĂ© de lâamour », in Ćuvres mystiques de saint Bernard Paris Seuil, 1953, 29. Pour cette raison, on ne peut pas dire que lâamour est la valeur des valeurs », comme V. YankĂ©lĂ©vitch lâappelle, Les vertus et lâamour, II Paris Flammarion, 1986, 135. Lâamour nâest pas la valeur mĂȘme, mais Dieu. 2 Sertillanges, Lâamour chrĂ©tien Paris Gabalda, 1919, 7. Lâamour de Dieu est dâabord son amour envers lui-mĂȘme, cf., J. Frame, The Doctrine of God Phillipsburg P&R, 2002, 416-417. 3 En ce sens, J. Moltmann a raison de souligner le caractĂšre communautaire de la TrinitĂ©, TrinitĂ© et royaume de Dieu Paris Cerf, 1984. 4 G. CombĂšs, La charitĂ© dâaprĂšs saint Augustin Paris DesclĂ©e de Brouwer, 1934, 50. 5 Ibid., citant Augustin, In Epist. Joan., 105, 3. Cf., A. Nygren, Eros et Agape III Paris Aubier, 1951, 35ss. 6 J. Edwards, Charity and its Fruits Edimbourg Banner of Truth, 1969, chap. 1. 7 G. CombĂšs, op. cit., 54, citant Augustin, De Trinit., XV, 19, 37. 8 H. Blocher, RĂ©vĂ©lation des origines Lausanne PBU, 1979, 91. 9 Ibid., 99. 10 J. Brun, Introduction Ă S. Kierkegaard, Ćuvres complĂštes, XIV Paris Orante, 1980, xvii. 11 G. Vos, The Scriptural Doctrine of the Love of God », in Gaffin, Ă©d., Redemptive History and Biblical Interpretation Phillipsburg P & R, 1980, 425-457. 12 Lewis, The Four Loves Londres Collins, 1960, Introduction ». Ce livre nâest pas disponible en français. 13 S. Kierkegaard, Le concept de lâangoisse », Ćuvres complĂštes, VII, 143-147. 14 K. Barth, Dogmatique, 2/1** GenĂšve Labor & Fides, 1957, § 30. Pour Barth, les perfections de lâamour sont la grĂące, la misĂ©ricorde et la patience et celles de la libertĂ©, la saintetĂ©, la justice et la sagesse lâamour englobe en quelque sorte la libertĂ©. 15 J. Edwards, op. cit., 5. Nous devons aimer Dieu Ă cause de sa saintetĂ©. 16 Cf. Wenham, The Goodness of God Londres IVP, 1974. 17 J. Frame, op. cit., 414. 18 Dabney, Godâs Indiscriminate Proposals of Mercy », Discussions Evangelical and Theological, I Edimbourg Banner of Truth, 1980, 282ss. 19 L. Berkhof, Le Dieu trinitaire et ses attributs ClĂ©on dâAndran Excelsis/Kerygma, 2003, 82. 20 Packer, ConnaĂźtre Dieu Mulhouse GrĂące et VĂ©ritĂ©, 1984, chap. 12. 21 Pour cette raison, parmi les Ă©motions humaines, on compte le bonheur, la haine et la tristesse aussi bien que lâamour. 22 La sympathie unitive » comme V. YankĂ©lĂ©vitch lâappelle, op. cit., II, chap. vi. 23 S. Kierkegaard, Ćuvres complĂštes, XIV, Les Ćuvres de lâamour », premiĂšre sĂ©rie, II, sur Le commandement dâaimer ». 24 Ibid., deuxiĂšme sĂ©rie, VII, sur La misĂ©ricorde, une Ćuvre de lâamour, mĂȘme si elle ne peut rien donner ni rien faire ». 25 Lloyd-Jones, Studies in the Sermon on the Mount, II Londres IVP, 1970, 74ss. J. Stott, Le sermon sur la montagne Lausanne PBU, 1987, 134 Le pardon que nous accordons aux autres ne nous donne pas le droit au pardon de Dieu, mais il tĂ©moigne dâune repentance authentique et de lâaccueil du pardon de Dieu. » 26 J. Edwards, op. cit., 16. Le frĂšre » est donc celui qui est nĂ© de lui » et non qui que ce soit. 27 Cf., JankĂ©lĂ©vitch, op. cit., 135ss. 28 J. Brun, Introduction Ă S. Kierkegaard, op. cit., xiv-xv. 29 Ćuvres mystiques de saint Bernard, 50.| ĐĐČÏŐ°á« Őšá„аáÏ | ĐĐșĐ»ÏŐȘĐŸĐ¶áÎŒ ŃŐ°áÎČĐžŃаз |
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MotivationEt Inspiration Pour Bien Faire L'amour (+ CamĂ©ras CachĂ©es) LA formation vidĂ©o de rĂ©fĂ©rence sur le sexe. Pour hommes, femmes et couples ouverts dâesprit. Un coach en sexualitĂ© et deux actrices X vous expliquent comment assurer au lit (Ă deux et plus) ! Est-ce quâil arrive que lâon ne vous rappelle pas ou que lâon ne
Ce que vous allez trouver dans cet article[Masquer]1. Prendre du plaisir quand on est une femme LâANDROMAQUE2. Prendre du plaisir quand on est une femme LA POSITION 993. Prendre du plaisir quand on est une femme LE CHEVAL Ă BASCULE4. Prendre du plaisir quand on est une femme LâAMAZONE5. Prendre du plaisir quand on est une femme LA LEVRETTE6. Prendre du plaisir quand on est une femme LE LATĂRAL On peut profiter chaque jour des plaisirs sexuels. Vous voulez mourir de plaisir ? Voici des positions que vous allez adorer. DĂ©couvrez-les vite ! Nombreuses sont les femmes qui ne prennent pas autant de plaisir quâelles le devraient lorsquâelles font lâamour. La principale raison est que beaucoup ont du mal Ă atteindre l'orgasme. Voici quelques positions pour celles qui ont du mal Ă atteindre l'orgasme des positions idĂ©ales car elles permettent de stimuler le clitoris et le vagin en mĂȘme temps. Si vous ĂȘtes enceinte, consultez notre article sur les positions Ă adopter pour faire lâamour pendant la grossesse ! Source image Prendre du plaisir quand on est une femme LâANDROMAQUE L'une des caractĂ©ristiques de cette position, dite de lâAndromaque, est qu'elle permet une pĂ©nĂ©tration en profondeur. Câest la femme qui donne le rythme, marque et dirige le mouvement, ce qui lui donne encore plus de plaisir. Prendre du plaisir quand on est une femme LA POSITION 99 La femme est allongĂ©e sur le cĂŽtĂ© et l'homme sâinstalle derriĂšre elle. Elle Ă©tend une jambe vers lâarriĂšre et lui entoure la taille. Il peut ainsi caresser le clitoris et les seins de sa compagne en douceur. Cette position de la dormeuse est trĂšs agrĂ©able pour les femmes. Prendre du plaisir quand on est une femme LE CHEVAL Ă BASCULE Le cheval Ă bascule est une position qui permet aux deux partenaires de se caresser, de sâembrasser et de se toucher intensĂ©ment. Câest ce contact qui rend cette position des plus agrĂ©ables. En outre, cette position permet dâappuyer le gland contre le clitoris et de le frotter suivant lâenvie de la femme. La pĂ©nĂ©tration provoque ensuite un plaisir infini. Prendre du plaisir quand on est une femme LâAMAZONE La femme est assise sur l'homme maintenant en contact son vagin avec son pĂ©nis. Câest une position qui peut sâavĂ©rer trĂšs agrĂ©able avant la pĂ©nĂ©tration car la femme peut prendre le pĂ©nis de son partenaire et caresser son clitoris avec comme elle le veut. Prendre du plaisir quand on est une femme LA LEVRETTE Cette position est l'une des plus agrĂ©ables pour les deux partenaires. L'homme peut ainsi caresser le clitoris de sa compagne. En outre, cette position lui permet d'insĂ©rer son pĂ©nis entre les fesses de la femme, ce qui est trĂšs excitant pour lui. Prendre du plaisir quand on est une femme LE LATĂRAL Câest lâune des positions les plus agrĂ©ables pour la femme car il y a en mĂȘme temps appui sur le clitoris et stimulation du vagin. Elle sâinstalle au bord du lit et flĂ©chit ses jambes ; lui est Ă genoux au bord du lit.